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Critique de LoupAlunettes
Un point très remarqué, chers lecteurs, et qui devient remarquable à la lecture du roman: son style d'écriture.
Une écriture volontairement métaphorique de l'auteur qui nous suggère déja quelque chose de singulier dans cet univers si proche du notre, une magie qui semble y cohabiter avec le monde moderne.
L'écriture de l'auteur inspire une présence ou une énergie dans l'air ambiant.
Sa présentation de certains plans de vues ordinaires sont transformés, comme gagnés par l'esprit d'un observateur doucement poétique et mais aussi curieusement paranoïaque.
Le décor semble vivant et gagné d'étranges intentions.
Non, tout cela n'est pas que dans l'imagination du jeune Fionn, 11 ans.
L'île est un peu vivante.
Lui et sa soeur quitte l'Irlande, Dublin, pour rejoindre la maison du grand-père sur l'île d'Arranmore.
C'est la 1ère fois pour Fionn, qui s'y trouve un peu nerveux.
Nous, lecteurs, savons déja qu'il s'y trouve aussi des choses magiques qui peuvent participer à son inconfort, l'île communique avec certains de ses résidents, pas tous, des élus, les gardiens des tempêtes.
Un peu comme les prêtres des dieux égyptiens, incas ou d'autres cultures, les gardiens nous semblent les médiateurs d'une parole presque divine, qui donne l'air de leur prédire tout autant injonctions ici et de tourments à venir.
Fionn découvrira que son grand-père Malachy est un de ses gardiens de l'île, sorte de conservateur d'un musée virtuel fait aussi de végétations, une sorte de temple vivant à la mémoire de l'île avec lequel il peut entrer en communion par le biais de bougies de cire très spéciales.
Que s'est-il passé à Arranmore il y a longtemps pour que les éléments naturels continuent de s'y déchaîner?
L'auteur met évidemment en parallèle Arranmore avec le charme et la spécificité des terres irlandaises très chahutées par les vents.
Il ajoute à cette caractéristique naturelle une légende qui y est enchaînée et c'est ce que Fionn va découvrir, et du coup, nous aussi.
L'aventure est très originale, la mise en place des manifestations magiques par le truchement des actions décrites mais aussi des nombreuses métaphores donnent à ressentir en plus qu'à imaginer.
La question que nous nous posons à la lecture.
Pourquoi le jeune héros ne laisse pas les choses en l'état puisqu'à son arrivée l'île semble bien gardée?
Un vent.
Un petit vent lui murmure constamment à l'oreille, le pousse à s'intéresser à l'histoire de l'île.
Mais dans quel but?
Au fur et à mesure de la lecture, il y a bien une idée qui nous vient.
C'est captivant et ça n'est que le premier tome à priori.
Une écriture volontairement métaphorique de l'auteur qui nous suggère déja quelque chose de singulier dans cet univers si proche du notre, une magie qui semble y cohabiter avec le monde moderne.
L'écriture de l'auteur inspire une présence ou une énergie dans l'air ambiant.
Sa présentation de certains plans de vues ordinaires sont transformés, comme gagnés par l'esprit d'un observateur doucement poétique et mais aussi curieusement paranoïaque.
Le décor semble vivant et gagné d'étranges intentions.
Non, tout cela n'est pas que dans l'imagination du jeune Fionn, 11 ans.
L'île est un peu vivante.
Lui et sa soeur quitte l'Irlande, Dublin, pour rejoindre la maison du grand-père sur l'île d'Arranmore.
C'est la 1ère fois pour Fionn, qui s'y trouve un peu nerveux.
Nous, lecteurs, savons déja qu'il s'y trouve aussi des choses magiques qui peuvent participer à son inconfort, l'île communique avec certains de ses résidents, pas tous, des élus, les gardiens des tempêtes.
Un peu comme les prêtres des dieux égyptiens, incas ou d'autres cultures, les gardiens nous semblent les médiateurs d'une parole presque divine, qui donne l'air de leur prédire tout autant injonctions ici et de tourments à venir.
Fionn découvrira que son grand-père Malachy est un de ses gardiens de l'île, sorte de conservateur d'un musée virtuel fait aussi de végétations, une sorte de temple vivant à la mémoire de l'île avec lequel il peut entrer en communion par le biais de bougies de cire très spéciales.
Que s'est-il passé à Arranmore il y a longtemps pour que les éléments naturels continuent de s'y déchaîner?
L'auteur met évidemment en parallèle Arranmore avec le charme et la spécificité des terres irlandaises très chahutées par les vents.
Il ajoute à cette caractéristique naturelle une légende qui y est enchaînée et c'est ce que Fionn va découvrir, et du coup, nous aussi.
L'aventure est très originale, la mise en place des manifestations magiques par le truchement des actions décrites mais aussi des nombreuses métaphores donnent à ressentir en plus qu'à imaginer.
La question que nous nous posons à la lecture.
Pourquoi le jeune héros ne laisse pas les choses en l'état puisqu'à son arrivée l'île semble bien gardée?
Un vent.
Un petit vent lui murmure constamment à l'oreille, le pousse à s'intéresser à l'histoire de l'île.
Mais dans quel but?
Au fur et à mesure de la lecture, il y a bien une idée qui nous vient.
C'est captivant et ça n'est que le premier tome à priori.
