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Critique de Davalian


Le tatouage fait davantage avancer le Cycle ottoman dans la fin approche (déjà !) à grands pas. Lady Nelson passe au second plan laissant la première place à son lord de mari ainsi qu'à Jade, dont le rôle est de plus en plus envoûtant et mystérieux.

Arrivée au terme de son initiation, Kim apprend de nombreuses choses qui vont lui être utile pour se lancer sur la piste d'un trésor tant convoité. Si la partie contemporaine de l'histoire tient une plus grande place que précédemment, elle ne reste qu'une sorte de prétexte un lien pour étoffer le scénario. Seul les deux hommes qui semble-t-il vont devoir revêtir le rang de méchants suscitent des questions. Ceux-ci semblent être plus retors et complexe qu'à première vue.

Le trait d'Ana Miralès atteint ici son niveau de maturité. Il n'y a pas une planche, pas un personnage qui ne soit pas réussi. Tout est absolument sublime : qu'il s'agisse des scènes dans le dessert, des batailles diplomatiques ou tour simplement les dessins plus intimistes et ô combien réussis.

Les quelques faiblesses qui ont pu être notées par le passé sont ici oubliées. L'histoire d'amour est subtilement composée : tout en restant centrale elle ne demande pas une attention exagérée. le récit est assez équilibré pour plaire à un large panel de lecteur (et de lectrices).

Assurément voici un point fort de la série ! La suite... vite !
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