Chroniques minières du Mexique

Inutile de penser aux scènes de films où le héros se tire de ce genre d’habitacles de voiture avec une combinaison improbable de coup de tête à gauche et coup de coude à droite et multiples coups de pied bien alternés entre les deux types de devant, tout en tenant le volant avec l’autre pied pour garder la voiture sur la file de gauche et en composant en parallèle le numéro de son officier traitant sur le portable en utilisant son nez, parce que tous ses autres membres sont occupés comme déjà mentionné et le gland du tout dernier membre dispo est de toute évidence bien trop gros pour taper sur les touches du portable…

Mais je savais simplement que je n’avais pas envie de me soumettre perpétuellement à l’enculage structurel des gominés sortis de la cuisse de Jupiter dans un environnement de multinationale à la con où ils te mentent comme les ordures d’arracheurs de dents qu’ils sont.

Je venais de tourner le cadran deux fois, avec, sous les yeux, le genre de poches capables d’accueillir une modeste progéniture de kangourou.

Plus noire est la merde dans laquelle on vit, plus contagieux sont les rêves, je trouve.