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Critique de Amorina
Comment résumer en quelques mots la puissance de ce roman ? C'est avec des regrets, mais totalement convaincue, que je referme aujourd'hui ce subtil ouvrage.
Abordant à la fois les thèmes de la religion, de l'amour, de la condition féminine et de la place de l'Église au Moyen-Âge, cette histoire inspirée de la vie réelle d'une jeune fille confronte les désirs et aspirations d'un coeur pur aux dérives et secrets honteux d'une société emplie d'hypocrisie.
Si le propos dont il est question ici n'est pas nouveau, c'est au travers du regard de Juette que la critique prend tout son sens et nous invite à une réflexion nouvelle et attentive sur la réalité des personnages qui font partie de notre Histoire.
Le portait, ici, est celui d'une jeune fille mariée mariée trop tôt, celui d'une âme sensible qui ne vivait que pour rêver et s'égarer dans les histoires qu'elle espérait devenir réelles. C'est l'histoire d'un coeur innocent, empli de Dieu et de promesses, qui se brise sous le joug de mauvais croyants qui justifient leurs méfaits par une lecture érronée - et ô combien cruelle - de la Bible.
La critique est violente, et le voile levé sur les agissements pervers et destructeurs d'une société où la robe écclesiastique ne sert qu'à dissimuler la fausseté des hommes.
Ici, j'ai tout particulièrement apprécié l'alternance entre les pensées de Juette et ceux de son ami prêtre Hugues, qui apparaissent comme une goutte de pureté et d'honnêteté dans ce torrent sale et violent. Leurs mots sont nobles, leurs ressentis poétiques. Les échanges témoignent d'une confiance et d'une estime réciproques. le personnage d'Hugues, surtout, secrètement amoureux et plein d'un profond respect, a suscité tout mon attachement. Ces deux âmes qui se débattent, se perdent et se retrouvent sans cesse, quel déchirement !
Un récit très fort, celui d'un combat pour la liberté, pour l'Amour des autres et l'Amour de Dieu, sans attaches, plein et entier.
Abordant à la fois les thèmes de la religion, de l'amour, de la condition féminine et de la place de l'Église au Moyen-Âge, cette histoire inspirée de la vie réelle d'une jeune fille confronte les désirs et aspirations d'un coeur pur aux dérives et secrets honteux d'une société emplie d'hypocrisie.
Si le propos dont il est question ici n'est pas nouveau, c'est au travers du regard de Juette que la critique prend tout son sens et nous invite à une réflexion nouvelle et attentive sur la réalité des personnages qui font partie de notre Histoire.
Le portait, ici, est celui d'une jeune fille mariée mariée trop tôt, celui d'une âme sensible qui ne vivait que pour rêver et s'égarer dans les histoires qu'elle espérait devenir réelles. C'est l'histoire d'un coeur innocent, empli de Dieu et de promesses, qui se brise sous le joug de mauvais croyants qui justifient leurs méfaits par une lecture érronée - et ô combien cruelle - de la Bible.
La critique est violente, et le voile levé sur les agissements pervers et destructeurs d'une société où la robe écclesiastique ne sert qu'à dissimuler la fausseté des hommes.
Ici, j'ai tout particulièrement apprécié l'alternance entre les pensées de Juette et ceux de son ami prêtre Hugues, qui apparaissent comme une goutte de pureté et d'honnêteté dans ce torrent sale et violent. Leurs mots sont nobles, leurs ressentis poétiques. Les échanges témoignent d'une confiance et d'une estime réciproques. le personnage d'Hugues, surtout, secrètement amoureux et plein d'un profond respect, a suscité tout mon attachement. Ces deux âmes qui se débattent, se perdent et se retrouvent sans cesse, quel déchirement !
Un récit très fort, celui d'un combat pour la liberté, pour l'Amour des autres et l'Amour de Dieu, sans attaches, plein et entier.
