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4,04

sur 234 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Un soir d'hiver de 1916, une religieuse découvre un bébé emmitouflé dans des fourrures : sans doute une fillette de trappeur.
Le bébé est accueilli avec beaucoup d'affection par le couvent école du village de Val- Jalbert près du lac Saint- Jean au Québec.
La petite Marie-Hermine va grandir sans qu'on vienne la réclamer. La fermeture de l'usine de pâte à papier va empêcher la famille Marois de l'adopter alors qu'une réelle affection les unit.
L'auteur arrive à nous plonger dans l'ambiance du Québec avec un petit défaut. On sent très fort qu'elle n'est pas originaire du Québec même si elle respecte les faits historiques. Il manque le côté couleur locale des personnages tellement intéressant pour nous, de l'autre côté de l'océan. Je pense à la merveilleuse saga de Marie Laberge .
J'ai été étonnée par la lenteur des faits alors que dans la saga d'Angelina, il se passait sans cesse de nouveaux évènements.
Pour tout avouer, j'ai un peu bâclé la fin de ce roman plein de bons sentiments que j'avais commencé en me réjouissant de retrouver l'auteure.
Cela ne m'empêchera pas de lire d'autres romans de Marie-Bernadette Dupuy de temps en temps.
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Marie-Hermine a été abandonnée sur le perron du couvent école de ValJalbert. Recueillie par les soeurs, elle va grandir dans ce village qu'elle affectionne tant mais elle ne cesse jamais de chercher une famille, la sienne, ou une autre qui lui donnera de l'affection.
Ce premier tome d'une saga nous plonge dans le Québec des années 1916 à 1932.
Dans une communauté très catholique, le ton est parfois un peut mièvre et naïf. Cependant, le récit nous donne envie de plonger dans cet hiver neigeux québécois que hermine apprécie tant.
J'ai été un peu déçue cependant, trouvant que le récit manquait un peu d'action. Ayant le deuxième tome dans ma PAL, j'ai bien envie de découvrir la suite quand même.
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L'histoire :
Canada, 1916. Un bébé est abandonné devant le couvent d'un petit village, avec une lettre. Son nom est Marie-Hermine. Les soeurs vont alors l'élever et découvrir qu'elle a une voix en or. Appréciée de tous, elle se plait dans son village mais espère le retour de ses parents. Entre espoir, déception et amour, on assiste à sa métamorphose pour devenir une belle jeune femme...

Mon avis :
On a affaire ici à un gros pavé plein de bons sentiments. L'histoire d'un bébé abandonné, puis d'une fillette pleine d'espoir, d'une adolescente affirmant son caractère et pour finir, avec une femme amoureuse. le tout dans un village canadien victime de l'exode rural du milieu des années 1910 aux années 1930.
Les personnages sont nombreux. Bien qu'Hermine en soit le sujet principal, l'auteure se penche aussi sur la vie de plusieurs autres habitants du village. On y retrouve entre autres la femme soumise mère de famille, la riche dame au passé mystérieux, le curé attaché à sa paroisse, la fillette orpheline et aveugle, le bûcheron rustre... Tout ceci rappelle la série de "La petite maison dans la prairie". Hermine est aussi belle que gentille, dotée d'une voix enchanteresse mais garde en elle la tristesse de ne pas connaître ses parents. Malgré le fait d'avoir passé plus de 600 pages avec elle, je ne m'y suis pas attachée du tout. Trop lisse et mièvre à mon goût, et je ne sais pas vous mais moi les personnages trop parfaits ça m'ennuie.
Cependant l'histoire tient la route, l'auteure parvient à tenir un fil conducteur sans partir dans tous les sens, tout ça sans faire sombrer le lecteur dans l'ennui grâce à quelques rebondissements par ci par là. Malgré le fait de ne pas avoir été happée par l'intrigue, pas une fois je n'ai eu envie d'abandonner ma lecture.
Le style reste accessible, avec une majorité de dialogues, quelques descriptions de paysage et beaucoup de sentimentalisme. le vocabulaire est simple et le dénouement reste dans la lignée du récit.
En conclusion, c'est un roman facile à lire malgré le nombre conséquent de pages, qui a pour but de faire pleurer dans les chaumières, de tristesse mais aussi de joie. Sur moi ça n'a pas marché : j'ai trouvé que ça manquait de profondeur, ou peut-être mon coeur est-il trop dur ! Toujours est-il que ça reste une lecture légère et optimiste.
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Un roman se déroulant à Val-Jalbert, village fantôme du Lac Saint-Jean tout près du chalet familial de mon enfance ne pouvait que me plaire. Surtout que le roman débute dans les années 1910 et qu'il y est question d'une orpheline, un sujet qui me touche beaucoup en général. En plus, il y est question d'Amérindiens et de la nature, des sujets qui me passionnent toujours.
Alors, pas de surprise, j'ai beaucoup aimé L'enfant des neiges. Par contre, je n'ai pas du tout aimé l'écriture qui tout au long de l'histoire, n'a cessé de me déranger.
D'abord, il faut savoir qu'il s'agit d'une histoire se passant au Québec, dont les personnages sont Québecois mais dont l'auteure est Française. Forcément, en essayant de rendre ses personnages trop Québécois, l'auteure a émis quelques maladresses. le plus souvent, ce sont des expressions ou des jurons québécois qui sonnent faux à l'endroit où ils sont placés.
J'ai aussi trouvé l'écriture un peu simpliste, et les fils de l'histoire étaient beaucoup trop tirés par les cheveux. Parfois trop, c'est pire que pas assez. C'est un peu ce que j'ai ressenti en lisant l'histoire.
Malgré cela, j'ai passé un bon moment en compagnie d'Hermine, l'orpheline à la voix d'or. À découvrir pour les amants de la nature québécoise et pour les amateurs de romances historiques uniquement.
Je me lance tout de suite dans le deuxième tome de cette série de quatre livres, en espérant tout de même que ça s'améliore un peu !
Lien : http://lecturesdisabelle.blo..
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L'histoire m'a plu. Je trouve juste dômmage qu'il y ait trop de bons sentiments dans l'écriture de Marie-Bernadette Dupuy. J'ai, cependant, pris plaisir à suivre la vie d'Hermine, à découvrir le village de Val-Jalbert et toute cette partie du Québec, près du Lac St-Jean.
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Ce n'est pas le roman du siècle, mais je me suis laissé porter par la lecture de ce gros livre racontant l'abandon d'une fillette, près d'un couvent, situé dans un village canadien, début XXe siècle. Bien sûr, pas de vraiments méchants dans cette histoire du grand Nord. Tout est même trop facile dans l'existence de la petite Marie Hermine, mais bon je l'ai accepté, même si cela m'a parfoit fait sourire. Je crois qu'il y a cinq ou six romans qui suivent cette histoire. A voir.
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En lisant ce livre j'ai eu la même sensation que pour "les 4 filles du Dr March" : de la béatitude, du "gnagnan" et rien n'est grave tout est toujours beau ! C'est quand même dommage que pour un livre qui part avec une bonne histoire nous n'ayons pas plus de "boudage" de petite fille ou de prises de tête entre les personnages. Tout est toujours joli dans le meilleur des mondes.

Un livre qui m'a donc déçu par ce manque de réalisme d'une petite fille qui ne vit pas son adolescence comme cela devrait être. Mais bon sinon l'histoire en elle même est belle, bien que trop cousue d'avance. On se doute déjà de la fin dès les premières pages.

A vous de le lire et vous jugerez par vous même si vous êtes ou pas d'accord avec moi.
Lien : http://homelaet.canalblog.com
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J'ai bien aimé ce roman et vais sans doute acheter les deux suivants d'ici quelques temps !!
Certes, au début, j'ai été un peu agacée parce que l'on aurait pu se croire au pays des Bisounours, (...)

la suite sur mon blog
Lien : http://lespassionsdelaura.ov..
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Une belle histoire sur fond historique.
On se laisse porter par la narration meme si les personnages sont assez caricaturaux: une belle jeune fille réputée orpheline aux yeux bleus qui tombe amoureuse d'un indien métis (maintenant , le politiquement correct dirait , un métis autochtone).
Tout se termine bien, puisque la mère biologique refait surface, en plus elle est trés riche (!) et la mère adoptive donne enfin naissance à une petite fille.
Cela se laisse lire mais c'est un peu trop prévisible et pétri de bon sentiments.
Bon , par les temps qui courent, cela ne fait pas de mal de temps en temps!
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Oui, ça se passe au Québec, mais je ne retrouve pas ce petit je ne sais quoi qui me fait adorer les écrivains québecois. Déjà il me manque les expressions et l'accent.... J'ai noté des incohérences. L'une d'elle en 1923 : "Elisabeth et Joseph, avec leurs trois garçons... 1927 : Edmond avait deux ans. Élisabeth avait fait quatre fausses couches entre la naissance d'Armand et l'arrivée de ce troisième fils.
Sinon c'est agréable à lire, je lirai les tomes suivants.
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