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Critique de Tipee
S'il y a une chose que j'apprécie en lisant les livres de Cécile Duquenne, c'est qu'elle a plusieurs mondes fictifs bien construit et vivant ; l'écriture reste fluide et ces livres sont très rapides à lire.
L'histoire se structure autour d'une femme, employée de morgue, assez obscure dans ses jugements, et qui ne travaille que de nuit. Jusque-là tout est normal, mis à part que son meilleur ami est un vampire et qu'ils s'adonnent ensemble à des nuits de beuverie et de tentative de réanimation d'animaux morts.
Bref tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, jusqu'au jour où tous les employés de jour de la morgue sont retrouvés découpés en morceaux au petit matin.
Si dans les deux premiers tomes des Foulards Rouges de Cécile Duquenne, nous faisons face à un monde steampunk en plein univers de science-fiction avec de la « magie » présente, ici nous avons un univers calqué sur le monde actuel, assez sombre bien que bon vivant. Par certains côtés cela me rappelle l'univers de Sophie Dabat avec la saga de Sainte-Marie des Ombres. le héros décalqué par rapport au monde le rappel aussi.
Le récit fait penser à un genre de nombreuses fois réalisé et peu original : la chasse aux loup-garou. Mais la construction de l'histoire est élaborée de telle sorte que l'on ne puisse décrocher de l'histoire. le récit nous prend aux tripes tout en étant léger (assez paradoxal) et vraiment intéressant à lire.
Ma lecture de ce tome m'a bien fait rire, et je lirais sans doute le second tome.
L'histoire se structure autour d'une femme, employée de morgue, assez obscure dans ses jugements, et qui ne travaille que de nuit. Jusque-là tout est normal, mis à part que son meilleur ami est un vampire et qu'ils s'adonnent ensemble à des nuits de beuverie et de tentative de réanimation d'animaux morts.
Bref tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, jusqu'au jour où tous les employés de jour de la morgue sont retrouvés découpés en morceaux au petit matin.
Si dans les deux premiers tomes des Foulards Rouges de Cécile Duquenne, nous faisons face à un monde steampunk en plein univers de science-fiction avec de la « magie » présente, ici nous avons un univers calqué sur le monde actuel, assez sombre bien que bon vivant. Par certains côtés cela me rappelle l'univers de Sophie Dabat avec la saga de Sainte-Marie des Ombres. le héros décalqué par rapport au monde le rappel aussi.
Le récit fait penser à un genre de nombreuses fois réalisé et peu original : la chasse aux loup-garou. Mais la construction de l'histoire est élaborée de telle sorte que l'on ne puisse décrocher de l'histoire. le récit nous prend aux tripes tout en étant léger (assez paradoxal) et vraiment intéressant à lire.
Ma lecture de ce tome m'a bien fait rire, et je lirais sans doute le second tome.
