Après la trilogie "autobiopornographique" et "
Nicolas Pages",
Guillaume Dustan change de registre et propose un essai fourre-tout, un amas de réflexions et de "théories" se voulant subversives, géniales, mais, finalement, incohérentes dans leur ensemble, voire illisibles, tellement la forme est destructurée (n'est pas
Duras qui veut).
Malheureusement pour le lecteur qui avait aimé ses premiers livres, Dustan poursuivra, après "
Génie Divin", dans la même veine logorrhéique et illisible, perdant toute crédibilité littéraire et intellectuelle.
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