Hauteville House, tome 19 : La cité d'or

Je suis Hauteville house depuis le début et arrivé au 19° volume j 'avoue qu' a mon goût tout cela commence a tirer sur le corde le steampunk c est avec le temps effacé pour un ésotérisme un peu éventé , les scénarii ont perdu leur punch et les personnages de leur originalité . Je pensais que les auteurs auraient la sagesse de clôturer la série avec cet opus Ben non c est reparti pour un ( plusieurs) tours Je n aime pas abandonner en cours de route mais là je crains que ce brave Victor H . ne continue sans moi dommage Il faut savoir clore une histoire avant qu'il ne soit trop tard

C'est une série que je suis depuis ses débuts et je ne loupe aucun album à l'achat. Pour autant, avec les années qui passent, j'ai l'impression que cette série originale s'est un peu perdue dans une multitude d'intrigues. On n'arrive plus vraiment à suivre le destin de cette multitude de personnages. On a perdu un petit peu de vue Hauteville House et son célèbre occupant.

J'aurais aimé une conclusion mais c'est juste la fin du 5ème cycle. Je pense qu'il serait grand temps de conclure. Cependant, c'est nullement l'intention des auteurs qui trouvent toujours un prétexte pour relancer la sauce comme le final de ce tome 19 qui va redistribuer les cartes.

Ce tome nous entraîne en Afrique sur fond de mysticisme et surtout à la quête des cités d'or. On apprendra que les rives de l'Amazonie n'étaient qu'un leurre pour éloigner les explorateurs.

Il y a toujours un mélange d'uchronie et de steampunk qui fait le charme de cette série. Cela reste plaisant à lire, grâce à de magnifiques planches très belles visuellement, et à découvrir pour peu qu'on s'accroche au scénario. En tant que lecteur, on demande parfois plus qu'une lecture divertissante. Sans doute un peu de maturité...

l'équipage formé d'Eglantine, Gavroche, Georges et du fantôme remonte le fleuve traversant le territoire Zoulou. Pendant ce temps la terrible gardienne de la cité d'or Varna dévaste tout sur son passage.

Voici la conclusion du 5e cycle, un peu en demi-teinte je trouve. le côté steampunk teinté de magie africaine est plaisant, les décors sont bien posés et les personnages sympathiques. Mais j'ai trouvé que la fin n'était pas aussi explosive qu'attendu. Et nous n'échappons pas à quelques phrases bien pensantes et assez convenues sur les méfaits de la colonisation, et du dédain des blancs devant l'histoire africaine.
Un 5e cycle plus linéaire et moins farfelu que certains mais l'on est sur ça s'essouffle un peu. Pourtant un nouveau cycle est annoncé...

Dernier volume du 5ème cycle de la Saga uchronique de Duval and Cie. C'est la grande convergence en Afrique .Le gran mythe évoqué est celui de l'Eldorado (celui de l'Amérique du Sud n'étant qu'un leurre) le monstre inévitable est une statue d'or nommée Varna (Midas aurait été approprié) . La référence culturelle est « Au coeur des ténèbres » de Conrad (ou Apocalypse Now) . L'ensemble se termine par une mort à la Gollum… mais de qui ? A mon goût la série s'est affaiblie au fil des complications ajoutées et des répétitions de péripéties sans compter les discussions philosophico-historiques qui alourdissent le récit. J'ai des doutes sur l'intérêt de la suite.

Voilà : fin de l'histoire.
Je persiste dans mon impression : c'est un énorme divertissement. le problème c'est que je ne me souviens plus du tout du point de départ de cette série.
Et encore une fois la fin, laisse espérer encore autre chose.
Ca commence à faire long ! non ?

Suite des aventures en pays zoulou et de la quête d'Adam Blake alias le capitaine Morgan qui souhaite rendre l'araignée au chef zoulou pour que la malédiction qui pèse sur lui soit enfin levée. Eglantine, amoureuse, Gavroche, dubitatif l'accompagne.
Mais est ce que Morgan est totalement franc dans sa volonté de rédemption? Est que la mystérieuse Varna, fantôme doré, qui les poursuit de sa vengeance les rattrapera avant que le totem soit rendu à ses propriétaires?
Un tome plus clair que les précédents parce qu'il se cantonne à une intrigue qui se clôture mélant fantastique, uchronie, personnages réels et inventés.