AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de domenicocortez


Ouragan, tornade, le roman virevolte, s'élève et retombe avec fracas, membres brisés, orgueil écrasé. La crasse, la puanteur, les déchets.
L'excrément comme catégorie sociologique, Durkheim chez les ploucs, l'homme excrété parce que nécessaire, à chacun sa place: abattoir, torche-colline, harpie méthodiste.
Tous se doivent de favoriser le transit intestinal, pour qu'aucune tête ne dépasse, qu'aucun citron ne s'élève. Jusqu'à ce que sécession se fasse, grève-stratégie où la fleur de bouse qu'on appelle amitié puisse enfin surgir et répandre ses effluves avant la fin, fin de la bouteille, dernière gorgée amère pleine de dépôts, impureté et limpidité s'excluant mutuellement.

Toute la beauté du monde dans ses scories.
Commenter  J’apprécie          20



Ont apprécié cette critique (2)voir plus




{* *}