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Critique de ancarlafernandes
Le préface écrit par le psychothérapeute belge Thomas D'Ansembourg m'a immédiatement séduit. Les mots justes, pleins de sens, bienveillance et humanité m'ont inspiré et m'ont réconforté dans mon choix de lecture.
"La gratitude est l'essence de la joie. Elle donne sans compter : du temps, de la tendresse et des sourires, sans attendre de retour" ;
"La bonté est un savoir-faire. le savoir-être demande du courage. Conserver sa douceur face à l'agressivité ; sa fermeté malgré la peur de déplaire, cela demande de la force intérieure et du courage" ;
"La bonté et la gentillesse se révèlent des forces de transformation : ce sont nos comportements individuels qui nourrissent et transforment la conscience collective et les habitudes sociales"
Cependant les textes de l'auteur, médecin oncologue, m'ont souvent ennuyé. Je n'ai pas réussi à m'épanouir en prenant connaissance de tous les nombreux cas pratiques et la théorie qui en découlait. On en parle de valeurs, tels la responsabilité, l'authenticité, la fermeté, l'empathie, l'exemple, la conciliation et du pouvoir transformateur de la gentillesse, mais l'information est disperse, confuse...
Je souligne quelques citations :
"L'être humain n'a pas qu'une seule dimension. Il n'est pas statique. Nous ne sommes ni rigides, ni immuables. Tel un cristal nous présentons différentes facettes de notre personnalité en fonction du côté qui est en lumière" ;
"La bonté est aussi une valeur citoyenne qui permet de transformer notre société de compétition, de fragmentation et de solitude en une société qui promet la collaboration des individus entre eux et entretien le sentiment d'appartenance a une communauté"
"La bonté est l'avenir de l'humanité"
"La troisième intelligence c'est l'éthique du coeur qui révèle notre disposition à faire le bien"
"La gratitude est l'essence de la joie. Elle donne sans compter : du temps, de la tendresse et des sourires, sans attendre de retour" ;
"La bonté est un savoir-faire. le savoir-être demande du courage. Conserver sa douceur face à l'agressivité ; sa fermeté malgré la peur de déplaire, cela demande de la force intérieure et du courage" ;
"La bonté et la gentillesse se révèlent des forces de transformation : ce sont nos comportements individuels qui nourrissent et transforment la conscience collective et les habitudes sociales"
Cependant les textes de l'auteur, médecin oncologue, m'ont souvent ennuyé. Je n'ai pas réussi à m'épanouir en prenant connaissance de tous les nombreux cas pratiques et la théorie qui en découlait. On en parle de valeurs, tels la responsabilité, l'authenticité, la fermeté, l'empathie, l'exemple, la conciliation et du pouvoir transformateur de la gentillesse, mais l'information est disperse, confuse...
Je souligne quelques citations :
"L'être humain n'a pas qu'une seule dimension. Il n'est pas statique. Nous ne sommes ni rigides, ni immuables. Tel un cristal nous présentons différentes facettes de notre personnalité en fonction du côté qui est en lumière" ;
"La bonté est aussi une valeur citoyenne qui permet de transformer notre société de compétition, de fragmentation et de solitude en une société qui promet la collaboration des individus entre eux et entretien le sentiment d'appartenance a une communauté"
"La bonté est l'avenir de l'humanité"
"La troisième intelligence c'est l'éthique du coeur qui révèle notre disposition à faire le bien"
