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Critique de ay_guadalquivir
C'est un addendum a l'édition du Dahlia noir que j'ai lu cet été qui m'a emmené vers la part d'ombre de James Ellroy. Il y faisait référence à cet autre texte, pour compléter le lien entre l'affaire du dahlia et le meurtre de sa mère Jean Ellroy.
Ellroy est un enfant lorsque sa mère est retrouvée morte, étranglée sur le bas côté. Ce livre raconte comment Ellroy marche après sa mère, qu'il haïssait enfant, quand son pere lui répétait qu'elle était une pute et une ivrogne, pour finalement lui redonner une vie, tangible et qu'il pouvait aimer. Tantôt rapport de police, factuel, clinique, tantôt enquête haletante à la recherche du Basané qui sans doute assassina sa mère, souvent réflexion sur lui et sa mère, ce livre est aussi une rédemption, d'un parcours de vie chaotique, marqué par la drogue, le vol, la prison, d'un voyeurisme qu'il assume, vers quelque chose qui ressemble à l'amour d'un fils pour sa mère.
Ellroy est un enfant lorsque sa mère est retrouvée morte, étranglée sur le bas côté. Ce livre raconte comment Ellroy marche après sa mère, qu'il haïssait enfant, quand son pere lui répétait qu'elle était une pute et une ivrogne, pour finalement lui redonner une vie, tangible et qu'il pouvait aimer. Tantôt rapport de police, factuel, clinique, tantôt enquête haletante à la recherche du Basané qui sans doute assassina sa mère, souvent réflexion sur lui et sa mère, ce livre est aussi une rédemption, d'un parcours de vie chaotique, marqué par la drogue, le vol, la prison, d'un voyeurisme qu'il assume, vers quelque chose qui ressemble à l'amour d'un fils pour sa mère.
