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Critique de Cyrlight
Dans ce second tome de Happy Marriage ?!, les sentiments de Chiwa continuent à évoluer à l'égard de Hokuto, l'homme qu'elle a épousé dans le cadre d'un mariage de convenance. Celui-ci ne semble pas non plus indifférent à son charme, mais au lieu de se l'avouer, ils cherchent tous deux à obliger l'autre à le reconnaître.
Si j'avais trouvé le premier tome sympa, mais sans plus, celui-ci m'a vraiment déçue. Il sombre en plein dans ce qui a le don de m'agacer dans la plupart des romances : le fait de tourner en rond, à cause de l'incapacité des personnages à communiquer.
Ce manga, c'est un pas en avant, deux en arrière. Les personnages se testent, tentent de se déchiffrer, mais se dérobent toujours au lieu d'aller jusqu'au bout. C'est prodigieusement agaçant. Leurs interactions se limitent à Hokuto qui passe son temps à répéter « Tu es à moi », ce qui amène chaque fois Chiwa à pleurer sur son sort et sur le fait qu'elle n'est « qu'un contrat ». Et quand elle-même se décide à s'exprimer, il y a toujours quelque chose pour l'en empêcher.
De nouveaux personnages font également leur apparition, mais ne servent à rien d'autres qu'à créer des quiproquos et des sujets de discordes entre les deux époux. J'avais pourtant bon espoir, quand Chiwa fait une scène de jalousie à Hokuto et qu'il en conclut qu'elle est amoureuse de lui, je pensais que cela permettrait d'avancer un peu, mais… non. Pas du tout.
Quand je vois combien ce second tome tire sur la corde, j'appréhende énormément les huit suivants. J'espère tout de même me tromper, mais ce manga ne part pas gagnant…
Lien : https://leslecturesdecyrligh..
Si j'avais trouvé le premier tome sympa, mais sans plus, celui-ci m'a vraiment déçue. Il sombre en plein dans ce qui a le don de m'agacer dans la plupart des romances : le fait de tourner en rond, à cause de l'incapacité des personnages à communiquer.
Ce manga, c'est un pas en avant, deux en arrière. Les personnages se testent, tentent de se déchiffrer, mais se dérobent toujours au lieu d'aller jusqu'au bout. C'est prodigieusement agaçant. Leurs interactions se limitent à Hokuto qui passe son temps à répéter « Tu es à moi », ce qui amène chaque fois Chiwa à pleurer sur son sort et sur le fait qu'elle n'est « qu'un contrat ». Et quand elle-même se décide à s'exprimer, il y a toujours quelque chose pour l'en empêcher.
De nouveaux personnages font également leur apparition, mais ne servent à rien d'autres qu'à créer des quiproquos et des sujets de discordes entre les deux époux. J'avais pourtant bon espoir, quand Chiwa fait une scène de jalousie à Hokuto et qu'il en conclut qu'elle est amoureuse de lui, je pensais que cela permettrait d'avancer un peu, mais… non. Pas du tout.
Quand je vois combien ce second tome tire sur la corde, j'appréhende énormément les huit suivants. J'espère tout de même me tromper, mais ce manga ne part pas gagnant…
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