L'auteur suédois nous ballade de
Marie Curie et ses amours avec un homme marié, Paul Langvin à Blanche "la reine des hystériques " et sa passion pour charcot, le célèbre neurologue.
L'intrigue repose sur leurs amitiés même si les historiens n'ont aucune preuve que ces deux femmes se sont rencontrées.
Sans s'arrêter à cette "réalité" discutable, le roman demeure une peinture très réaliste de la place des femmes vers 1880, des portraits de femmes qui savent berner ces hommes si puissants et un nationalisme sous-jacent qui voit en la polonaise une voleuse de mari.
Un bon roman qui nous laisse dans l'ambiguïté: la liberté littéraire devant des personnages ayant réellement existés !!!
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