Citations sur Drive Me Insane (23)
Tu es aussi grisante qu'une course à trois cents à l'heure.
Je suis tombé amoureux d'Ava comme on respire. C'était inné, spontané, mécanique... c'était comme répondre au besoin vital de mon corps en oxygène, à l'exception que c'était elle, ce besoin.
"- Pas la peine de prendre un langage soutenu, on est entre amis.
- On n'est pas amis. D'anciennes connaissances au mieux.
- Tu me brises le cœur, ricane-t-il.
- Impossible il y a un écriteau avec marqué "néant" à la place."
« Si le bonheur peut se matérialiser, alors il a les traits de l’homme de ma vie. Si le bonheur peut s’écouter, alors sa mélodie est celle des battements de mon cœur. »
J’avais oublié qu’elle possède le même pouvoir que la Formule 1. Celui de me rendre complètement accro aux sensations qu’elle provoque en moi. Ava est aussi dangereuse et addictive qu’un course à trois cents à l’heure, et je crois que c’est pour ça que j’étais amoureux d’elle quand on était jeune. Parce que je ressentais toujours un shoot d’adrénaline quand on s’amusait ensemble. J’essaye de refréner mes envies de la faire mienne mais en vain. Je la désire. Tout comme la Formule 1, elle me rend dépendant.
Je suis tombé amoureux d’Ava comme on respire. C’était inné, spontané, mécanique… c’était comme répondre au besoin vital de mon corps en oxygène, à l’exception que c’était elle, ce besoin.
Même si ce deal est une connerie abyssale, je veux fouler les paddocks avec lui et connaître la vraie énergie des courses, je veux ressentir ce frisson qu’on n’a pas vraiment à travers l’écran de télé quand on regarde une course.
Je n’ai jamais ressenti de frissons pour aucune autre fille. À cette époque, elle était le fruit défendu, la fille de mon mentor que je considérais comme un père de substitution. La raison me disait de ne pas la toucher, la passion me hurlait de le faire. C’était l’amour fusionnel de deux adolescents, le genre que tu sens jusque dans tes os et qui te brise quand il se termine.
Il se dégage de lui, une assurance écrasante. C’est involontaire, mais sa présence domine celle des autres. Je m’installe en face de lui. Putain de merde, huit ans que je ne l’ai pas vu. Comme l’autre jour, je suis complètement hallucinée de le voir en chair et en os plutôt que dans les pages d’un magazine ou à la télé. Vraiment ça me dépasse, huit ans d’absence et maintenant ça…
J'avais tort tout à l'heure car, à cet instant précis, il semble plus beau que jamais. Il irradie de mille feux. Si le bonheur peut se matérialiser, alors il a les traits de l'homme de ma vie. Si le bonheur peut s'écouter, alors sa mélodie est celle des battements de mon cœur.