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Critique de Ancolie


2007, Inga essaie de se remettre du décès de son mari en retournant dans la maison de vacances familiale. 1959, Rakel est mourante et se remémore sa vie. Rakel est la grand-mère d'Inga. Nous sommes en Suède et nous allons découvrir ce qui unit ces deux femmes, outre leur lien de parenté.
Il y est question, pêle-mêle, de la guerre 14-18, de secrets de famille, d'amour, de passion, de deuil, de destin, de foi et surtout, à mes yeux, d'amitié. Un troisième personnage, Léa, apporte sa contribution à l'intrigue. D'abord colocataire de Rakel, elle devient son amie. Toutes les deux se ressemblent, belles et entières, et elles tissent une relation de confiance et de franchise. J'ai été touchée par ce duo porté par une amitié profonde.
Malgré un début un peu laborieux - j'ai eu du mal à comprendre les liens qui entourent les personnages en voulant y voir plus de mystères qu'il n'y en avait - j'ai été entrainée petit à petit dans ce roman qui au final m'a beaucoup plu.
Maria Ernestam signe un ouvrage, peut-être pas extraordinaire, mais abouti. Je l'ai refermé satisfaite et encore un peu envahie par l'histoire de Rakel et Léa et par les beaux jours qui s'ouvrent malgré tout devant Inga…
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