Une très belle évocation d'une favela au Brésil.
L'évocation de l'esclavage qui finalement perdure.
L'auteure écrit avec une grande délicatesse, phrases courtes, mots choisis, parfois même des mots inventés.
Les personnages vont et viennent dans ce livre, se croisent, se répètent, évoluent. On ne s'ennuie jamais, même quand revient encore et encore le même lei-motif : les blancs riches d'un côté et les noirs pauvres de l'autre.
on dit que
Conceiçao Evaristo est la Toni Morisson du Brésil, et j'en suis d'accord.
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