La curiosité est vraiment quelque chose d'affreux, songeait-il. Comment peut-on s'empêcher d'avoir envie de savoir?
- Deux hommes m'ont enlevé. Ensuite, la situation est devenue bizarre. J'avais l'intention de revenir plus tôt. C'est le loyer qui vous tracasse?
Mais le gardien levait les bras, comme pour se défendre de coups éventuels. " Non, je voulais parler de votre bras, protesta-t-il.
- Oh. Je l'ai perdu."
" Ne vous inquiétez pas, camarade Kline, dit-il. Il faut bien que les os viennent de quelque part. Ceux-ci viennent de vous, c'est tout." Il tendit la main et souleva délicatement les os, les plaça dans le coffret, referma le couvercle. "Ils vivent leur propre vie désormais, camarade Kline."
- Qui est soit mort, soit vivant.
- Exactement.
- ça fait une sacrée différence, dit Gous. C'est ce que nous comptons bien découvrir.
- Quoi? Fit Ramse.
- Ça, répondit Gous.
- Quoi? Dit Ramse, en regardant autour de lui. Qu'est-ce qui se passe?
- Exactement, intervint Kline. C'est ce que je voudrais savoir.
De toute évidence, vous êtes votre pire ennemi, monsieur Kline.
- "Ange de la destruction... comme un voleur dans la nuit... ne brandit point un rameau d'olivier mais le glaive."
- "La curiosité est vraiment quelque chose d'affreux. Comment peut-on s'empêcher d'avoir envie de savoir ?"
- "Nous devons tous commettre nos propres erreurs. Nous avons tous notre libre arbitre."
- "Pour se trouver il faut d'abord se perdre."
- "Faut jamais sous-estimer un homme prêt à se couper la main pour gagner quelques minutes, le temps de réfléchir."