OMU campus, tome 1 : Player

Cette romance rassemble plusieurs tropes que j'apprécie beaucoup. Déjà c'est une romance universitaire (campus américain) combinée à une romance ennemies to lovers et colocation puisque les protagonistes se retrouvent à partager le même appartement sur le campus. Et pour finir le héros éponyme est un sportif ténébreux imbu de sa personne, séducteur à ses heures perdues et «légèrement » connard (mais juste sur les bords). C'est également un héros torturé et un handicapé des sentiments qui avec parcimonie va gagner sa place dans votre coeur. En tout cas, il a réussi à en prendre une de choix dans le mien. Player m'a littéraire séduite. Quant à Dixie, sa colocataire, sa partenaire de dispute qui n'a pas froid aux yeux, sa tentation inattendue, elle se révèle être une bouffée de fraîcheur. Malgré son passif et ses blessures, Dixie est un rayon de soleil qui tient tête à Player, une petite nana pleine d'esprit et de répondant qui le pousse dans ses retranchements. Dès leur première rencontre ça promet d'être explosif. Ils ne s'apprécient guère mais aucun des deux ne s'attendaient à l'attirance qui les pousse l'un vers l'autre, à la tension sexuelle qui les déstabilise. Peut-être que succomber une fois à cette attraction électrisante suffira à la calmer pour de bon… ou pas.
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Avec sa nouvelle romance, Estelle Every frappe fort. Rien d'étonnant, elle compte parmi ces autrices françaises de romances autoéditées et engagées qui mènent divinement bien leur barque, en proposant des histoires d'amour intenses et touchantes, abordant diverses thématiques qu'elles traitent avec justesse et authenticité. Estelle sait manier les mots, jongler avec les émotions. C'est une lecture à travers laquelle on passe par une multitude d'émotions.
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PLAYER c'est tout simplement une tuerie, une véritable petite bombe à lire absolument. Estelle Every a marqué un sacré touchdown dans mon coeur avec son récit prenant et ses personnages attachants et touchants.
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