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Critique de Bobbylembrouille
Furie - John Farris
Dégoûtée par certains passages plus que mysogynes où les personnages féminins et leurs actions sont écrits de manière ridiculement invraisemblable. Scandalisée par certains passages qui normalisent des pensées presque incestueuses et parfois carrément pédophiles.
En somme, je suis très déçue.
Le concept, largement inspiré de "Charlie" de Stephen King, sans en être tout à fait une copie, est très bon. Je m'étais lancée dans cette lecture confiante et pleine d'espoir à la perspective de retrouver des personnages aux pouvoirs surnaturels dans une enquête à travers les Etats Unis au rythme effréné. "Charlie" étant l'un de mes livres préférés, j'avais très envie de découvrir comment John Farris s'en était inspiré. J'ai été très déçue de constater que son roman est imbibé de matchisme et d'idées malsaines. Des passages particulièrement dérangeants polluent l'histoire à tel point qu'il m'a été difficile de me motiver à le finir, mais je ne me serais pas sentie légitime d'en parler ici si je ne l'avais pas terminé. Finalement je n'ai même pas envie de m'étendre sur les points positifs de ce livre tant je suis révoltée. Les aspects appréciables d'un livre ne sont pas censés rattrapper ses aspects abjects. Pour moi, il est inadmissible de mettre aujourd'hui des choses pareilles entre les mains d'un public non averti.
Dégoûtée par certains passages plus que mysogynes où les personnages féminins et leurs actions sont écrits de manière ridiculement invraisemblable. Scandalisée par certains passages qui normalisent des pensées presque incestueuses et parfois carrément pédophiles.
En somme, je suis très déçue.
Le concept, largement inspiré de "Charlie" de Stephen King, sans en être tout à fait une copie, est très bon. Je m'étais lancée dans cette lecture confiante et pleine d'espoir à la perspective de retrouver des personnages aux pouvoirs surnaturels dans une enquête à travers les Etats Unis au rythme effréné. "Charlie" étant l'un de mes livres préférés, j'avais très envie de découvrir comment John Farris s'en était inspiré. J'ai été très déçue de constater que son roman est imbibé de matchisme et d'idées malsaines. Des passages particulièrement dérangeants polluent l'histoire à tel point qu'il m'a été difficile de me motiver à le finir, mais je ne me serais pas sentie légitime d'en parler ici si je ne l'avais pas terminé. Finalement je n'ai même pas envie de m'étendre sur les points positifs de ce livre tant je suis révoltée. Les aspects appréciables d'un livre ne sont pas censés rattrapper ses aspects abjects. Pour moi, il est inadmissible de mettre aujourd'hui des choses pareilles entre les mains d'un public non averti.
