Les femmes avaient tout autant besoin de caresses et de baisers que les hommes.
Un homme se doit de prendre ses responsabilités, sinon ce n’est pas un homme.
Souvent les femmes étaient ainsi, elles n’avaient pas conscience de leur appétit sexuel, jusqu’à ce que quelqu’un les initie.
Ma mère à moi, elle disait souvent que la haine n'était pas loin de l'amour, qu'on peut passer de l'un à l'autre en une minute. C'est une chose terrible d'aimer sa femme.
A ses yeux, l'amour était un mot totalement irréaliste; une notion comme on ne les rencontrait que dans les contes de fées. L’amour n’avait pas droit de cité dans les unions qui se tissaient autour d’elle.
Qu’est-ce qu’un homme était supposé faire quand une femme totalement nue venait se trémousser à son nez et à sa barbe ?
Un homme dont la moralité était plus que douteuse n’avait certainement aucun conseil à donner.
En fait, force lui était d’avouer que tout son pouvoir de séduction tenait au fait qu’il aimait les femmes : les femmes au teint lumineux, au sourire éclatant, à la peau laiteuse, ces femmes belles et douces. Il se laissait envoûter par le parfum fleuri de leurs cheveux, l’éclat cristallin de leurs rires, leur propension à vivre chaque jour avec la même passion.
Diable, qu'avez-vous donc avec les rousses ? Je n'en crois pas mes yeux, elles tombent comme des mouches, qu'elles ne soient pas encore sevrées ou déjà trop vieilles pour marcher… Elles ont toutes le béguin pour vous.
Travailler comme un forcené était bon pour l'homme, surtout quand, comme lui, il n'arrivait pas à s'ôter une femme de la tête. La douleur lui faisait oublier ses tourments.