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Critique de marina53


Cela fait maintenant un an que Malo est revenu du Royaume des Ombres. Malgré le fait qu'il ait repris une vie normale, il ne peut s'empêcher de penser tous les jours à Lily, la petite marchande de rêves qu'il aimerait tellement revoir. Alors que les vacances de la Toussaint sont arrivées, Aymeric, le papa de Malo, veut absolument se rendre à Edimbourg où se tient le septième congrès des porteurs de cravates dans un château de la cité médiévale. Il en sera ainsi malgré la réticence du petit garçon et de sa maman, Daphné. C'est une ville grise et pluvieuse qui les accueille. Dès le lendemain, le papa se rend dès potron-minet au congrès, présidé cette année par Andy Mac Intosh, écossais pur malt. Quant à la maman de Malo, elle décide d'aller faire les boutiques non sans avoir proposer à son fils de le déposer à la fête foraine qui a élu domicile en bas de la colline. Aussitôt les portes franchies, le garçon est tout content de voir ainsi les manèges s'animer de la sorte et de pouvoir déguster une pomme d'amour. Mais, alors qu'il se promenait dans l'allée centrale, il remarque deux nains, ronds comme des ballons de baudruche, qui se chamaillent et se giflent. En les entendant parler, il est étonné de reconnaître le langage du Professeur Septimus qu'il avait croisé au Royaume des Ombres. Il décide de les suivre et pénètre ainsi dans le Palais de Glaces. Dans ce labyrinthe, il aperçoit un hublot sur lequel était écrit: "Bienvenue au Royaume des Ombres..."

Choucroute, mes enzymes! Inutile de bavoter inutilement, l'heure tournicote... Si vous voulez savoir ce qui se globule derrière ce hublot, qui sont ces nains prénommés Sourdaud et Duredoreille, vous engoufrouiner de tartinettes à la confiote de grenouillards à vous remplir la besace, bravacher avec la poupée de porcelaine ou gambadouner dans le jardin des quatre saisons, ne soyez pas pétouilleur! Il n'y a qu'une seule chouquette: ouvrez ce formularium, à l'appareillage du gazeux! Bienvenue dans ce lugubrounet châtineau où Malo, cette fois encore, va s'en prendre plein les judas. Ce livre a de quoi moutiner, Maxence Fermine est, à l'instar de Septimus, un magicien... ou un blabateur? Vous devez surement penser que j'ai une écrevisse dans le vol au vent...

La poupée de porcelaine... catachrèse, quelle sacrée greluche!
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