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EAN : 9782370120830
464 pages
Editions Clémentine (10/11/2017)
3/5   2 notes
Résumé :
Il y a “Le Marcheur”, qui avance et Sylvain qui se bat contre tous. Il y a Finelli et Pieri qui ne s’entendent pas, et Barcelli qui vieillit. Il y a Bonifacio, le sud et les habitudes locales qui ont la vie dure. Et il y a le commissaire Pierucci, qui se livre beaucoup, parce qu’il est amoureux, qu’il voudrait bien être en vacances avec Sofia, mais il y a des indélicats qui meurent de tous côtés, et de vacances, il n’en aura pas. Pourquoi cet obscur comédien se fait... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
J'avais adoré le 1er tome des aventures de ce cher Commissaire Pierucci, et de ses 2 inspecteurs totalement loufoques et décalés, dont les répliques et situations font bien rigoler.
Dans ce tome-ci le commissaire est en vacances avec sa chère et tendre quand il est rappelé pour une série de meurtres un peu particuliers.
Le grand mafieux Barcelli, ne se fait plus tout jeune et d'autres veulent prendre sa place, d'autant plus que ses passeurs d'argent tombent comme des mouches, tués par on ne sait qui. En parallèle un acteur d'un petit théâtre itinérant meurt étranglé dans sa tente, et là on se demande bien le rapport avec les mafieux.
Nos inspecteurs ont du pain sur la planche, et avec ça un nouveau secrétaire sur les bras, qui n'est pas très discret et encore moins efficace, un éléphant dans un magasin de porcelaine.
L'enquête est prenante, les échanges et les pensées des protagonistes sont assez coquasses, et on apprécie beaucoup en début de chapitre les jeux de mots, et les dictons transformés en phrase un peu fofolle qui font bien sourire, d'ailleurs quel plaisir de les retrouver tous listés en fin de livre.
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On retrouve bien les personnages du tome 1, toujours aussi attachants et bien travaillés par l'auteur. La ville, et l'extrême sud de la Corse sont là, devant nous comme si nous y étions, jusqu'à ressentir la chaleur ambiante.
Par contre, l'écriture parfois trop proche de l'oral avec la répétition du sujet alourdit le récit : "D'abord Marie-Joseph Extorse, il avait été convié à la réunion, sous le fallacieux prétexte qu'il fallait qu'il prenne des notes, mais, Finelli, il le savait au fond de son estomac qu'il n'y avait pas de notes à prendre....."
De plus que vient faire le chapitre 1 à la 289è page quand le 2 est à la page 293 et le 3 va de la page 305 à la fin du livre (page 461) ?
Pour finir l'intrigue bien qu'intéressante est très alambiquée.
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Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Les Rastes dont tu as la bouche pleine, par exemple eh bien je ne les ai trouvés nulle part…

– Les Cérastes, béotien !

– Peu importe ! Rats, rastes ou cérastes, les mots, c’est fait en général, pour communiquer, et toi, on dira que la communication, ces derniers temps, elle souffre d’un problème de parasites. Il faudrait voir à changer la parabole, tu vois !... Alors, c’est qui, qui était avec Sylvain ce soir-là, et quel soir, d’abord ?
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« Vous vous appelez ?

– Marie-Joseph Extorse ! »

Cela fut dit de la même petite voix de jeune fille qu’auparavant, et Pierucci se dit qu’il ne s’habi-tuerait pas plus à la voix qu’au nom, encore moins au marcel et à la chemise en nylon qui portait de larges auréoles sous les bras. Que ce lieu, c’était l’ Amityville des commissariats, le Shining de la fonction publique, que le bâtiment qui les abritait avait dû être élevé sur les lieux d’un ancien asile de fous, dont les émanations maudites faisaient encore sentir leurs effets délétères ; ou alors sur une décharge dans laquelle on avait jeté allez savoir quoi… Et enfin qu’il était maudit, vraiment maudit ! Il devait y avoir un para-tonnerre d’un genre particulier sur le toit de l’antenne de la PJ de Bonifacio, qui attirait sur elle tous les tarés, les décérébrés, les anormaux, les singularités qu’une planète hystérique aurait directement éructés là.
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Est-ce qu’il voyait, devant lui, la somptueuse splendeur de l’hémorragie voluptueuse du soleil
dans la mer ? Sentait-il la saveur âcre des épices du maquis, portée à ses narines par les bouffées capricieuses d’un vent paresseux ? Suivait-il des yeux les égarements des animaux folâtres que son pas tranquille ne dérangeait pas ?
Nul ne le savait !
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Et puis, la proximité de la ville, avec sa citadelle assise sur la falaise comme un scarabée bienveillant, ses hautes maisons à étages et ses escaliers terrifiants, la vérité du paysage, blanc sur le ciel bleu. Il aimait cet endroit.
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Il faut, pour en avoir de beaux, penser à se fabriquer des souvenirs avec les petits moments de
bonheur de la vie, car l’état heureux n’est que l’utopie de l’espoir que la jouissance puisse durer plus de quelques secondes
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