Le calendrier de l'après

En 2038, 18 ans après l'apparition du virus Verna, décrite par l'auteur dans le feuilleton du confinement ”Restez chez vous“, le monde est décimé, les ressources sont rares, l'accès au vaccin est restreint, les hommes élus ne servent plus qu'à la procréation, tandis que le pouvoir est féminin. Une dystopie qui raconte une Suisse romande de l'exprès, où la gare Cornavin est devenue une zone de non-droit et le siège de Nestlé un crématorium, qui joue avec les références locales et actuelles du lecteur et l'entraîne dans un road-trip à la fois horrifique et jouissif.

Habituée aux polars de Nicolas Feuz, j'ai été surprise par cette histoire qui relève plus de la science fiction, ou dystopie. J'ai mis plus de temps à le lire car le rythme et le suspens sont plus lents que d habitude, mais le sujet du virus Verna et du monde de l'après vu par l'auteur, m'ont tout même incitée à poursuivre la lecture.
Ce roman est très sombre et se termine malgré tout avec une lueur d'espoir.

C'est très très tiré par les cheveux mais on se laisse prendre dans l'aventure de ce que peut devenir le monde après une pandémie et où une personne a pris le contrôle pour faire régner son monde. Intéressant. Mais pas le meilleur ouvrage de l'auteur, qui est également procureur en Suisse et qui nous mène dans son milieu judiciaire.

2eme lecture pour ma part de cet auteur .

Une dystopie

Nous sommes en l‘an 18 .

18 ans apres qu‘un virus ait ravage toute la terre et une bonne partie de la population .

Sur la population restante 90% de femmes.

Il y a deux categories de populations ceux qui ont ete vaccines et ceux qui ne l‘ont pas ete appeles „les inutiles“

Dans ce nouvequ monde de nouvelles lois sont instituees et l‘amour est deormqis interdite afin de ne pas propager ce virus .

Mais peut on toujours maitriser ses sentiments ?

Une dystopie qui pour moi a des passages a la walking dead avec des scenes un peu gore.

Sur le fond de cet Idee de recit apres la crise sanitaire certains details sont tires de la realite mais d‘autres vont un peu trop loin a mon gout .

C'est une bonne idée d'avoir créé une dystopie sur le thème de la pandémie ! J'ai adhéré à certaines trouvailles mais à d'autres moins. Je n'ai pas trop aimé la fin, je m'attendais à quelque chose de plus spectaculaire.
L'histoire se passe en Suisse, en des lieux que je connais bien, ce qui donne plus de poids à ce monde d'après pandémie.
Le virus s'appelle Verna, les institutions et les gouvernements sont tombés. L'approvisionnement en nourriture est presque impossible. Plus de communication possible, plus d'infrastructures, c'est un monde qui fait peur et qui aurait pu être le nôtre si la pandémie avait été plus mortelle.