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Critique de kalimera


Il suffit de lire la quatrième de couverture pour avoir une idée (bien trop précise) de ce que la lecture de ce roman nous réserve:

Tout commence à Toronto, à la fin du millénaire, le jour où Lilah Kemp, ex-bibliothécaire, spirite, déclarée schizophrène, laisse
échapper Kurtz de la page 181 du roman de Joseph Conrad, Au coeur des
ténèbres. Dans ce monde fou où les héroïnes romantiques vendent leurs
charmes, où les hommes d'affaires créent des clubs pour abuser
d'adolescents, où les psychiatres résolvent les problèmes de leurs
patients en fonction de leur propre intérêt, où le ciel est rempli des
nuées jaunes que répandent les escadrons M pour exterminer les
oiseaux, Lilah se lance dans une quête désespérée du Marlow qui saura
contrer Kurtz, le chasseur de têtes. À la suite de Coppola et de son
Apocalypse Now, Timothy Findley fait renaître l'un des plus grands
mythes littéraires, l'aventurier maléfique, l'incarnation du Mal qui,
au fin fond de la forêt, domine tout un peuple d'esclaves par le seul
pouvoir de sa voix.

(Gallimard)

C'est alléchant hein ?
On se dit miam, je vais me régaler, la trame du roman est très originale, on se déplace dans l'univers de la folie et tout et tout ...
Ben non...C'est décevant, confus, Thimoty Findley s'est perdu dans les méandres trop nombreux de son histoire, on se sent une envie de vomir devant des descriptions de scènes, de situations d'une violence à vomir.
Tout cela nuit vraiment à la lecture, on perd le fil de l'intrigue tarabiscotée, et on referme le livre en se disant que tout cela est une énorme erreur de quatrième de couverture.
Il reste juste une envie, celle de descendre le bouquin en flamme tout en complétant la fiche wiki...
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