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Critique de Nico8
Je suis un peu perplexe après avoir lu ce livre de David Foenkinos.
Pourquoi ? Parce que ce livre ressemble de façon très troublante à un autre de ses livres paru en 2014 (environ 2 ans après celui-ci), "la tête de l'emploi".
En effet, il semblerait assez clairement que ces deux romans racontent en fait la même histoire. Celle d'un homme, Bernard (le prénom est identique dans les deux ouvrages), qui se retrouve contraint de vivre chez ses parents à 50 ans suite à un divorce et un retour par la case chômage.
Au delà du fil conducteur, on se rend compte que plusieurs scènes sont carrément calquées d'un livre à l'autre ! Donc, pour moi ça ne fait plus aucun doute, "Bernard" et "la tête de l'emploi" sont deux livres quasi-identiques, l'un étant simplement plus court que l'autre. Voilà la seule différence.
Ce n'est pas grave en soi, j'en conviens, mais j'aurai simplement aimé le savoir avant de choisir de lire ce livre et de sentir un sentiment de déjà vu... ou devrais-je plutôt dire, un sentiment de déjà lu !
Sinon, j'avais aimé "la tête de l'emploi" et j'ai donc naturellement aimé cette version qui s'avère plus courte.
Pourquoi ? Parce que ce livre ressemble de façon très troublante à un autre de ses livres paru en 2014 (environ 2 ans après celui-ci), "la tête de l'emploi".
En effet, il semblerait assez clairement que ces deux romans racontent en fait la même histoire. Celle d'un homme, Bernard (le prénom est identique dans les deux ouvrages), qui se retrouve contraint de vivre chez ses parents à 50 ans suite à un divorce et un retour par la case chômage.
Au delà du fil conducteur, on se rend compte que plusieurs scènes sont carrément calquées d'un livre à l'autre ! Donc, pour moi ça ne fait plus aucun doute, "Bernard" et "la tête de l'emploi" sont deux livres quasi-identiques, l'un étant simplement plus court que l'autre. Voilà la seule différence.
Ce n'est pas grave en soi, j'en conviens, mais j'aurai simplement aimé le savoir avant de choisir de lire ce livre et de sentir un sentiment de déjà vu... ou devrais-je plutôt dire, un sentiment de déjà lu !
Sinon, j'avais aimé "la tête de l'emploi" et j'ai donc naturellement aimé cette version qui s'avère plus courte.
