Un roman très court (70 pages) dans lequel
Richard Ford rend hommage à sa mère, décédée d'un cancer.
L'auteur a adopté une écriture très sobre. Pas de grands étalages de sentiments, ni de révélations chocs du type presse à scandales. Il avoue sa part de subjectivité dans le fait qu'il ne sait pas tout sur sa mère (à cause de son côté réservé sur sa vie privée), et n'a pas non plus tenter de remédier à ce fait.
Les souvenirs que
Richard Ford a choisi tendent à rappeler une chose : que c'est grâce à nos mères que vient l'apprentissage de l'amour.
Commenter  J’apprécie         240