Un message y avait été soigneusement inscrit : « La lutte continue. » le panneau exhibait une photographie du centre névralgique de SARA, où les opérateurs scrutaient un mur d’écrans.
A l’entrée du site se dressait une imposante pancarte ornée du logo de la Ville de Nantes, lacérée et maculée de peinture noir. Elle avait été arrachée en bord de route avant d’être déposée ici, tel un acte de provocation délibéré. Un message y avait été soigneusement inscrit : « La lutte continue. » le panneau exhibait une photographie du centre névralgique de SARA, où les opérateurs scrutaient un mur d’écrans. L’expression originale, en caractères gras, proclamait : « La sécurité des Nantais, première des libertés ».
Plongés dans le noir et barricadés dans la chambre, Nadir et Débora entendaient l’IA qui « hurlait » de l’autre côté de la cloison, dans un déconcertant mélange de grésillements électriques et de sifflements aigus.