Je ne suis pas du genre à croire aux critiques québécoise lorsqu'elles parlent en bien de nos auteurs. Surtout lorsque j'ai appris qu'il (le gouvernement à payé les droits) pour pouvoir en faire un film. Je me suis dit: Il ne doit pas être aussi mauvais que
Patrick Senécal. Alors, je vais l'écrire sur ma liste. Grosse erreur, l'intuition c'est pas là pour les chiens. En lisant trente minutes par jour pendant une semaine pour finir cet insipide roman qui se veut d'horreur. Au début du roman, j'avais l'impression de lire la version scénaristique de la Grande Séduction. Puis, j'ai continuer à lire plus par effort personnel car sinon j'aurais lu dix pages (avec son joual). Ensuite, on a celle de rats de ville et rats des champs (inspirer des contes de la Fontaine écrit en 1668). Concept éculé tout comme le rythme du livre qui rappelle les histoires venant du dix-neuvième siècle. C'est lent au début et seulement dans les trente dernières pages on s'emballe. le roman commence vraiment à être sanglant (c'est un très grand mots à part le chevreuil du début) à la page 180. Donc l'auteur n'a que cinquante pages pour amener la fameuse horreur tant attendu et de fait je crois qu'il a l'oublié car il est végétarien.