Quatre récits courts, très différents les uns des autres, mais toujours originaux. Après une entrée en matière impressionnante sur la muse des artistes,
Neil Gaiman se consacre au charme mystérieux des chats, inversant les rôles, puis rend hommage à une pièce de
Shakespeare. le dernier volet fait honneur à
Death, un personnage dont il est facile d'être fan, tant ses sous-entendus font mouches à chaque réplique. Malgré les nombreux genres auxquels l'auteur fait appel, il reste fidèle au plus important de tous : celui du Conte.
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