Âgé d'à peine 30 ans, le jeune
Alexandre Galien s'est vu décerner le prix 2020 du Quai des Orfèvres pour son roman
Les cicatrices de la nuit.
On fait sa connaissance ici directement avec la suite :
le souffle de la nuit.
Ex-flic, l'auteur s'y entend pour décrire le quotidien des flics de la PJ parisienne, ceux qui résidaient il y a peu encore au mythique 36 Quai des Orfèvres.
Les clichés abondent, les flics du "groupe" chargé de l'enquête, les techniques d'investigation, l'humour à l'emporte-pièce, les rivalités entre polices, et même un arrière-plan d'intrigue politique tendance Françafrique ... on connait la musique et ses standards, les mêmes que dans les bonnes séries télé et les bons polars, un air connu et rebattu mais tout le monde aime bien fredonner cette chanson dont chacun connait les paroles par coeur.
Au programme : un tueur de flics, quelques prostituées de Vincennes, des rites vaudous et les mafias du Nigeria (les cults).
Du standard donc, un peu façon
Frank Thilliez, en moins intense peut-être, mais c'est écrit de façon pro et on ne boude pas son plaisir.
Pour celles et ceux qui aiment les poupées vaudous.
Lien :
https://bmr-mam.blogspot.com.. Commenter  J’apprécie         10