Je l'avoue d'emblée ; j'ai abandonné à la 177ème pages. J'estime que j'ai laissé à Jeanne le temps de se réveiller et au roman de s'installer.
Je comprends bien le partie pris de la monotonie dans l'écriture, du style intimiste pour dépeindre l'état d'esprit de Jeanne engluée dans son quotidien, gentille avec son mari, aimante avec ses filles, soumise à son père. Même l'arrivée d'un fantasme de jeunesse n'arrive pas à faire décoller le récit.
Et à force d'ennui, le roman m'est tombé des mains ; il y a trop de livres qui m'attendent patiemment dans ma PAL pour continuer à ne pas éprouver de plaisir à la lecture de celui-ci.
Commenter  J’apprécie         60