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Critique de Jardins_Secrets
Quand j'étais plus jeune, que j'écoutais de la musique, je me disais qu'un jour tout aurait été créé…
Et ensuite que se passerait-il ?
Puis en vieillissant, je me suis rendu compte que la création comme la récupération et la transformation était infinie et que cela ne s'arrêterait jamais.
Plus tard encore j'ai compris qu'en littérature il en était de même…
Roulement de tambour…
J'ai “découvert“ une nouvelle auteure.
Cymbales !!!
Ou plutôt une conteuse. Mary Shelley, Conan Doyle et bien d'autres n'ont qu'a bien se tenir, leur relève est assurée.
Je suis certain que si au lieu de lire son roman Gaëlle me l'avait racontée, j'aurai conservé mes yeux grands ouverts et la bouche aussi, durant toute sa lecture.
Il y a de la magie, de la poésie cachée entre les lignes :
“ Les pierres rendaient une musique bien assorties aux lieux. Cela s'expliquait par le mauvais entretien des dalles qui, disjointes, renvoyaient une note différente. Mais l'inspecteur préférait croire que chaque endroit de la ville avait sa propos mélodie chantée par ses murs et son sol, en écho à ce qu'y vivaient les gens.“
Wahou !!!
Vous voyez, je suis sûr que vous aussi êtes bouche bée !
Et en plus de cette belle écriture, Gaëlle nous emmène dans une enquête avec une intrigue palpitante dans les entrailles du vieux Londres du 19e siècle qui se forme petit à petit sous nos yeux. du coup j'ai voyagé aussi dans le temps.
Avec tous ses rebondissements jusqu'à la dernière page, ce roman policier m'a énormément plu, et m'a entraîné loin dans “ce monde“ dont sont à la recherche tous les lecteurs.
Merci Gaëlle
Et ensuite que se passerait-il ?
Puis en vieillissant, je me suis rendu compte que la création comme la récupération et la transformation était infinie et que cela ne s'arrêterait jamais.
Plus tard encore j'ai compris qu'en littérature il en était de même…
Roulement de tambour…
J'ai “découvert“ une nouvelle auteure.
Cymbales !!!
Ou plutôt une conteuse. Mary Shelley, Conan Doyle et bien d'autres n'ont qu'a bien se tenir, leur relève est assurée.
Je suis certain que si au lieu de lire son roman Gaëlle me l'avait racontée, j'aurai conservé mes yeux grands ouverts et la bouche aussi, durant toute sa lecture.
Il y a de la magie, de la poésie cachée entre les lignes :
“ Les pierres rendaient une musique bien assorties aux lieux. Cela s'expliquait par le mauvais entretien des dalles qui, disjointes, renvoyaient une note différente. Mais l'inspecteur préférait croire que chaque endroit de la ville avait sa propos mélodie chantée par ses murs et son sol, en écho à ce qu'y vivaient les gens.“
Wahou !!!
Vous voyez, je suis sûr que vous aussi êtes bouche bée !
Et en plus de cette belle écriture, Gaëlle nous emmène dans une enquête avec une intrigue palpitante dans les entrailles du vieux Londres du 19e siècle qui se forme petit à petit sous nos yeux. du coup j'ai voyagé aussi dans le temps.
Avec tous ses rebondissements jusqu'à la dernière page, ce roman policier m'a énormément plu, et m'a entraîné loin dans “ce monde“ dont sont à la recherche tous les lecteurs.
Merci Gaëlle
