Ne m'oublie pas

Alix Garin a puisé de belles émotions dans son coeur d'enfant, de petite-fille, de jeune femme pour nous livrer ce très joli roman graphique, et nul doute qu'elle a mis beaucoup d'elle-même dans le personnage de la jeune et fougueuse Clémence.
Les traits sont pleins d'une douce tendresse pour sa Mamycha tant aimée. Mais malheureusement les routes de Mamycha et Clémence/Alix divergent avec Alzheimer qui s'est invité dans la tête de Mamycha en venant balayer les souvenirs.
Sur un coup de tête, Clémence kidnappe l'aïeule de sa maison de retraite. Puisque Mamycha se croit attendue par ses parents dans sa maison d'enfance, alors Clémence met le cap sur cette destination, pour une petite route de 573 km.
Évidemment, cette virée imprévue va vite se transformer en épopée aux multiples rebondissements drôles, absurdes ou touchants.
Alix Garin aborde également l'homosexualité de Clémence mais j'ai regretté que le sujet ne soit que mentionné et ne fasse pas l'objet d'un échange avec la grand-mère, et cela m'a semblé un rendez-vous un peu manqué de ce côté-là.
Une réflexion toute simple sur notre relation parfois compliquée avec nos proches, la difficulté de se livrer et de dire certaines choses. Un rappel de l'importance de dire à ceux que nous aimons à quel point nous tenons à eux avant qu'il ne soit trop tard et de ne plus avoir que nos regrets en bouche.
C'est charmant, mais je n'ai été totalement embarquée, un peu trop de thèmes, qui du coup sont survolés, et la fin m'a laissée perplexe.

Je suis presque navré d'avoir été déçu.
J'en ai tellement entendu parler qu'il fallait que je le lise.
Et bien l'histoire est attendrissante, mais je m'attendais à plus d'émotion, à une fin plus poignante.

C'est l'histoire de Clémence qui ne supportant plus de voir sa grand-mère dépérir par la maladie d'Alzheimer décide de l'emmener dans la maison de son enfance.

J'ai aimé leurs petites aventures, les souvenirs, l'histoire de Clémence puisqu'elle est homosexuelle, les dessins…
Mais je pense qu'à force d'avoir lu temps de critique ça m'a enlevé le goût des plaisirs… Parfois il vaut mieux s'enfermer dans une bulle pour apprécier certains ouvrages!


Bonne lecture !

Je n'ai pas aimé cette bande-dessinée autant que je ne le pensais vu le résumé et les avis lus sur Internet. Evidemment, l'histoire est touchante, et on ne peut être qu'ému par cette jeune femme qui cherche à "sauver" sa grand-mère atteinte de la maladie d'Alzheimer et enfermée dans une maison de retraite dont elle tente de fuguer régulièrement.

Au cours des quelques jours passés sur la route vers la maison d'enfance de la grand-mère, les deux femmes partagent de jolis moments de complicité et d'autres plus compliqués lorsque la mémoire de la grand-mère lui joue des tours.

Les dessins d'Alix Garin, épurés avec des couleurs douces, ont une vraie personnalité, mais les personnages, aux expressions parfois trop marquées, m'ont moins plu. de même, je suis restée un peu dubitative face à certaines péripéties.

Objectivement, je sais que c'est une très bonne B.D., mais je ne suis pas tout à fait convaincue sans pouvoir dire exactement pourquoi...


P.S. : Hier, un peu sur le même thème, j'ai lu Suzette ou le Grand Amour, une autre histoire de voyage d'une grand-mère et de sa petite-fille sur les traces des souvenirs. Il n'y était pas question de maladie, mais j'ai préféré l'histoire que nous raconte Fabien Toulmé.

Histoire sympa d'une petite fille qui va sortir sa grand-mère de la maison de retraite pour l'emmener dans la demeure de ses parents. Son cerveau atteint de Alzheimer la fait par moment redevenir fillette. Les dessins et couleurs sont magnifiques. le scénario est bien menée. L'épopée est tour à tour triste et tendre. Mais quand même avec des sujets très à la mode. ⭐️⭐️⭐️

Une jolie découverte avec l'emprunt de ce roman graphique qui évoque plus particulièrement la maladie d'Alzheimer, la grand-mère de Clémence est en effet en maison de retraite et elle est atteinte de cette maladie.

Après sa dernière fugue le personnel de la maison de retraite souhaite revoir les cachets de celle-ci à la hausse afin de pouvoir veiller sur la vieille dame plus facilement.

Clémence se révolte à se sujet et décide donc d'enlever sa grand-mère et de l'emmener avec elle en voyage sur les traces des parents de celle-ci. Malheureusement ce séjour ne va pas se passer comme prévu et Clémence va rapidement se confronter à la dur réalité de cette maladie.

Sa grand-mère oscillant entre moment de lucidité et moment ou la maladie reprend le dessus et cela les mets dans des situations très peu confortables.

Les dessins au final dans ce roman graphique passent même au second plan voir même s'effaçant complétement devant les sujets évoqués dans celle-ci.

Une bande dessinée touchante et tout en finesse.

C'est une belle BD, les images sont douces et joliment colorées.
Il y est question de vieillesse. Clémence est très attachée à sa Mamie, qui est atteinte de la maladie d'Alzheimer. Elle supporte mal l'enfermement dans lequel sa grand mère vit en Ehpad: d'ailleurs, la vieille dame s'est enfuie plusieurs fois.
Alors Clémence et sa Mamie font une fugue. Il y aura lors de cette escapade des souvenirs qui reviennent, des anecdotes, des larmes et des rires, de la violence aussi.
C'est touchant et tendre, mais je n'ai pas trouvé cela inoubliable.

Clémence, une jeune femme en quête d'identité, n'accepte pas que sa grand-mère atteinte de la maladie d'alzheimer soit mise sous camisole chimique dans son EHPAD sous prétexte qu'elle fugue régulièrement.
Elle décide donc de la kidnapper pour l'emmener une dernière fois vers sa maison d'enfance.
Un road movie émotionnel où la mémoire de cette grand-mère et celle de sa petite fille se croise.
Le dessin est très simple avec des couleurs pastel.

Un roman graphique très touchant qui m'a malheureusement laissé perplexe.

Les thématiques de l'Alzheimer et de l'homosexualité sont abordés avec énormément de douceur, ce que j'ai vraiment apprécié.
En revanche, sur la fin, je trouvais que les évènements se sont vite déroulés et je n'ai, malheureusement tout saisi durant l'épilogue. Cette incompréhension finale m'a bloquée dans l'appréciation de cette lecture...

C est avec plaisir que j ai découvert ce roman graphique pour un challenge
Les critiques Babelio m ont été très utiles
Cette histoire est très attachante
La lecture des romans graphiques n est pas ma lecture de prédilection mais j ai beaucoup aimé
Je me suis attardée sur le graphisme très expressifs au niveau des personnages
C est un réel plaisir des yeux
Le changement de couleur de fond des illustrations permettent de repérer la chronologie des événements
En un mot et un seul laisser vous embarquez dans ce roman graphique facil à lire même si vous n etes pas habitué à ce genre de lecture

Ma mamie est atteinte de la maladie d'Alzheimer depuis plusieurs années maintenant. C'est donc tout naturellement que j'avais très envie de découvrir cette lecture. Alix Garin nous dépeint la maladie d'Alzheimer avec justesse et émotion. C'est vraiment très dur de voir les gens qu'on aime vieillir comme cela. Heureusement qu'eux ne se rendent pas compte de tout mais les proches en souffrent énormément. Je sais de quoi je parle. Ce livre est vraiment très beau et nous fait ressentir moultes émotions. Les illustrations sont vraiment très belles et parlent d'elles-mêmes. L'histoire est très touchante, surtout de voir la complicité entre Clémence et sa grand mère.
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