Une histoire de plus de 600 pages que j'ai adorée de bout en bout et que je suis triste de quitter, d'autant plus qu'elle n'a jamais été finie par son auteur,
Elizabeth Gaskell, qui est décédée avant d'avoir écrit le dernier chapitre.
Cette information je l'ai découverte peu de temps après le début de ma lecture, cela aurait pu me stopper net, mais j'ai été tout simplement happée par la vie quotidienne de la famille Gibson et de son voisinage. Heureusement, une lettre du rédacteur du magazine, où était publiée cette histoire, nous explique ou plutôt nous confirme, les dernières actions des héros de ce livre donnant ainsi une fin à cette belle histoire.
J'ai beaucoup ri, j'ai été triste parfois, j'ai voulu tordre le cou à certains personnages très souvent, mais je n'ai jamais été indifférente et je ne me suis jamais ennuyée…
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