Un récit autobiographique comme un long cheminement du deuil facilité par la reconstruction des souvenirs proches et lointains avec son père. Egalement, sans que cela soit clairement dit, une quête des origines espagnoles, de la guerre d'Espagne dont ce père ne parle pas mais qui a laissé des traces, par exemple lorsqu'il nettoye les plaies de son fils. Par petites touches, sans ordre chronologique, plutôt dans l'ordre où les souvenirs resurgissent,
Michèle Gazier retrace la vie de son père pour réussir à lui dire adieu...
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