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Critique de benleb
Le fils gaté-pourri d'un ministre tue accidentellement une jeune fille. L'homme de confiance du papa intervient pour nettoyer la scène du crime et trouver un volontaire pour jouer le coupable. Ce sera Dominique, chômeur longue durée et au bout du rouleau; sa récompense : un séjour de 3 mois dans l'endroit de ses rêves.
Il n'y a pas vraiment d'intrigue dans ce policier psychologique. On connait dés le début le coupable. le seul suspense est de savoir si il arrivera à assumer le remords qu'il éprouve.
Mais il y a beaucoup d'humour. En particulier dans la relation entre Ivan, le barbouze, homme de la ville et de culture, et Dominique, paysan refoulé et inculte timide. Quand le premier doit séjourner dans une ferme-gite, tenue par une fromagère baba-cool quinquagénaire, en compagnie d'un Dominique qui n'exprime sa pensée que par proverbes, il frise la dépression et l'envie de meurtre.
Beaucoup d'humour aussi dans les dialogues entre le jeune Nicolas et le fantôme ironique de sa victime, qui s'amuse à le mettre devant ses responsabilités.
Humour aussi dans les personnages du jeune meurtrier et de son ministre de papa, qui rappellent un homme politique bien connu (mais qui n'a peut-être pas lu Crime et châtiment, comme dans le roman).
Ce roman est surtout une fable, sur l'influence que peut avoir la fréquentation d'une caractère contraire sur votre propre personnalité.
Il n'y a pas vraiment d'intrigue dans ce policier psychologique. On connait dés le début le coupable. le seul suspense est de savoir si il arrivera à assumer le remords qu'il éprouve.
Mais il y a beaucoup d'humour. En particulier dans la relation entre Ivan, le barbouze, homme de la ville et de culture, et Dominique, paysan refoulé et inculte timide. Quand le premier doit séjourner dans une ferme-gite, tenue par une fromagère baba-cool quinquagénaire, en compagnie d'un Dominique qui n'exprime sa pensée que par proverbes, il frise la dépression et l'envie de meurtre.
Beaucoup d'humour aussi dans les dialogues entre le jeune Nicolas et le fantôme ironique de sa victime, qui s'amuse à le mettre devant ses responsabilités.
Humour aussi dans les personnages du jeune meurtrier et de son ministre de papa, qui rappellent un homme politique bien connu (mais qui n'a peut-être pas lu Crime et châtiment, comme dans le roman).
Ce roman est surtout une fable, sur l'influence que peut avoir la fréquentation d'une caractère contraire sur votre propre personnalité.
