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Critique de JD2b
Pas facile d'écrire une critique sur un bouquin. Ou alors si, en restant objectif. Mais, ne serait-ce que par les styles de lectures que j'affectionne, je n'ai pas envie d'être seulement objectif. Parce que j'aime lire des choses qui me prennent, me transportent... me parlent, en fait. Fut-ce à l'oreille...
Je ne peux pas rester froid, insensible, et analytique quand je lis, à regarder juste la forme. C'est ce qui fait que j'apprécie rarement les livres qui se contentent juste de décrire des petites histoires ordinaires, vécues par des gens ordinaires, dans notre société contemporaine ordinaire. Ça m'ennuie. Profondément...
Donc, comme je juge les livres que je lis à l'aune de mes émotions, mes critiques seront empreintes de l'humeur du moment. Forcément.
Et c'est ce qui me fait dire que, des nombreux Gemmel que j'ai lus, celui-là est celui que j'ai le moins "kiffé".
Le moins "kiffé", ça ne veut pas dire que je n'ai pas kiffé du tout, au contraire. Fan inconditionnel de Gemmel, j'ai aimé. Et puis ses personnages, les idées qu'on peut retrouver derrière, le mythe du héros poussé à fond, les valeurs de référence de ses bouquins, les ambiances, le souffle épique, l'écriture qui coule, les paysages... tout ça fait que ses bouquins sont à chaque fois une grande fresque, un blockbuster par analogie au cinéma, et donc, quand bien même on n'est pas entièrement satisfait, on a quand même droit à un spectacle qui vous emmène et vous transporte... loin... fort...
Alors je me suis demandé ce qui a fait que je n'étais pas si satisfait que çà.
Peut-être que ça vient de moi. Peut-être aussi que celui-là est un peu moins précis, ou moins fouillé, ou un peu déséquilibré dans sa construction (la fin du bouquin accélère l'action alors que pendant la majeure partie du livre, on est parfois un peu contemplatif de cette cité de Roc, ou des pays Keltoïs et de leur mode de vie plein d'enseignements).
Enfin bref, tout en étant un bon bouquin de fantasy, je trouve qu'on n'est pas au niveau des Légende, Waylander, le Lion de Macédoine, ou Troie...
Mais ça reste du Gemmel, et donc, ça "envoie des buchettes", quand même...
On verra à la sortie du tome 3, le 22 septembre...
Je ne peux pas rester froid, insensible, et analytique quand je lis, à regarder juste la forme. C'est ce qui fait que j'apprécie rarement les livres qui se contentent juste de décrire des petites histoires ordinaires, vécues par des gens ordinaires, dans notre société contemporaine ordinaire. Ça m'ennuie. Profondément...
Donc, comme je juge les livres que je lis à l'aune de mes émotions, mes critiques seront empreintes de l'humeur du moment. Forcément.
Et c'est ce qui me fait dire que, des nombreux Gemmel que j'ai lus, celui-là est celui que j'ai le moins "kiffé".
Le moins "kiffé", ça ne veut pas dire que je n'ai pas kiffé du tout, au contraire. Fan inconditionnel de Gemmel, j'ai aimé. Et puis ses personnages, les idées qu'on peut retrouver derrière, le mythe du héros poussé à fond, les valeurs de référence de ses bouquins, les ambiances, le souffle épique, l'écriture qui coule, les paysages... tout ça fait que ses bouquins sont à chaque fois une grande fresque, un blockbuster par analogie au cinéma, et donc, quand bien même on n'est pas entièrement satisfait, on a quand même droit à un spectacle qui vous emmène et vous transporte... loin... fort...
Alors je me suis demandé ce qui a fait que je n'étais pas si satisfait que çà.
Peut-être que ça vient de moi. Peut-être aussi que celui-là est un peu moins précis, ou moins fouillé, ou un peu déséquilibré dans sa construction (la fin du bouquin accélère l'action alors que pendant la majeure partie du livre, on est parfois un peu contemplatif de cette cité de Roc, ou des pays Keltoïs et de leur mode de vie plein d'enseignements).
Enfin bref, tout en étant un bon bouquin de fantasy, je trouve qu'on n'est pas au niveau des Légende, Waylander, le Lion de Macédoine, ou Troie...
Mais ça reste du Gemmel, et donc, ça "envoie des buchettes", quand même...
On verra à la sortie du tome 3, le 22 septembre...
