Interminable et pourtant facile à déchiffrer cette énigme d'une partition, supposée être celle de la 556ème sonate de Scarlatti, découverte presque mystérieusement dans la doublure d'un étui de violoncelle. Les chapitres sont pourtant courts, passant d'un personnage à un autre, mais quand on a très vite subodoré le dénouement, les quelques 500 pages de
555 paraissent bien longues et d'un intérêt bien maigre. Dommage !
La vengeance est un plat qui se mange froid et se digère difficilement, surtout quand les 50 dernières pages mettent les points sur les i en nous re-présentant le plat réchauffé.
Et son auteur d'avouer : ”Imaginer une vengeance soulage ; la mettre en oeuvre est sordide. Et les blessures qu'on inflige ne réparent pas celles qu'on a reçues. Jamais je ne referais ce que j'ai fait”. Espérons
Hélène Gestern soulagée et qu'elle tiendra parole !
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