Un petit live étrange, en forme de confession, comme un aveu d'impuissance et de douleur où l'on retrouve
Gide peut-être plus impliqué en tant que figure que dans ses récits, mais qui ne peut se lire qu'après avoir lu le reste de son oeuvre, en particulier
L'immoraliste et
La Porte Étroite.
Gide décrit ici quelques aspects de sa relation torturée et torturante avec la femme de sa vie, Madeleine. Sans artifice littéraire, cette oeuvre nous offre des clefs précieuses pour comprendre le rapport particulier de l'auteur à la figure féminine qui traverse ses oeuvres d'une façon à la fois si éthérée et entêtante.
Commenter  J’apprécie         50