Le monde serait triste, sans oiseaux. Ne sont-ils pas le symbole de nos rêves et le reflet de certaines pensées ? Parfois nos songes mêmes.
Qui n'a jamais ressenti l'angoisse ou la tristesse de ne pas pouvoir partir, cette angoisse qui naît rarement dans le calme de l'hiver ou dans la paresse de l'été, mais surtout au printemps et en automne ? Nous avons perdu le contact avec la nature et le sens de la nature ; mais il arrive qu'un rien inexplicable nous le fasse retrouver ou entrevoir.