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Critique de April-the-seven


Ayant bien aimé le premier tome, il n'était pas question que je passe à côté du suivant ! Il me fallait quelque chose de simple, drôle, et j'étais certaine que le retour serait à la hauteur. Finalement ça a été le cas, et en deux petites heures, je fermais ce petit guide après un dernier éclat de rire.

Je ne vais pas m'étaler sur le contenu, car les auteurs reprennent ici le même concept que dans le premier tome. Elles nous présentent des situations cocasses qu'on a tous eu un jour à vivre et les tournent de façon à nous donner divers conseils. le but ? Décomplexer, cesser de toujours essayer d'être comme la société le souhaite, et rester soi-même, tout simplement !

Quand j'ouvre La femme parfaite est une connasse, je me sens comprise, pas en marge de la société. Je me dis que je ne suis pas la seule fille à avoir certaines préoccupations. C'est drôle, c'est frais et plein de peps, mais c'est aussi tellement rassurant ! Je peux le dire, non, je ne suis pas une extraterrestre, oui, certaines femmes vivent les mêmes tourments (débiles) que moi, et m'oui, je suis peut-être un peu connasse moi aussi, sur les bords !

Sachant que nous sommes actuellement en été et que j'entretiens moi-même ma culotte de cheval (pas besoin de faire attention, je suis pas en vacances, contrairement à d'autres), eh bien ces deux heures de lecture m'auront apporté les effluves de la plage, du sable et des cocotiers. Je me suis vraiment sentie légère et j'ai lu ce roman sans me prendre la tête.

On a toujours le droit à cet humour parfois absurde, parfois caustique, et moi qui y suis très sensible, je n'ai pas cessé de glousser comme une dinde durant tout le livre. Et quand je ne riais pas, je souriais comme une bécasse. On s'identifie tellement vite à tous les exemples, on se dit “ah oui, moi aussi je fais comme ça !”, “hanlala, c'est tellement ça !”. Bref, on ne se sent impliquée.

Petit plus pour toutes ces variations de typographie qui attirent l'oeil et nous empêchent de nous ennuyer. L'effort mérite que j'en fasse mention, tout de même.

En résumé, La femme parfaite est une connasse, le Retour, ce n'est pas de la haute littérature. Ce n'est même pas un roman. Mais l'air de rien, les quelques pages nous apportent beaucoup beaucoup de joie. Ça remonte le moral et ça nous oblige à considérer les choses avec optimisme.
Lien : http://april-the-seven.weebl..
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