Citations sur Les Fleury-Nadal, tome 6 : Missak (deuxième partie) (5)
Aucun d'entre nous n'a traversé ce que tu as vécu, et aucun d'entre nous n'a le droit de te juger.
Pour sauver ma misérable vie, j'ai trafiqué, trahi, volé ! Par peur de la mort, je suis allé jusqu'à abjurer ma foi ! J'ai accepté toutes les bassesses ! (…)
… JE NE SUIS PAS MEILLEUR QUE MES BOURREAUX !
Si je disparais à mon tour sans leur avoir raconté la fin des nôtres, ce sera comme s'ils mouraient une seconde fois…
Leur souvenir disparaîtra avec moi ! Grand-père et grand-mère ne pourront même pas les pleurer !
« Tu n’as pas idée de ce que j’ai dû faire pour survivre ! Jamais je ne pourrais devenir quelqu’un de bien, grand-père… Parce que là d’où je viens, le bien n’existait plus ! » (p. 26)
Tu ne peux pas imaginer ce que j'ai vu !!
Tu n'as pas idée de ce que j'ai dû faire pour survivre !
Jamais je ne pourrai devenir quelqu'un de bien grand-père… parce que…
… Parce que là d'où je viens… Le Bien n'existe plus !