En septembre 2000, nous avons invité à Francheville près de Lyon une quarantaine de théologiens protestants, jeunes pour la plupart, à un colloque, une Université théologique libérale d’automne, dont l’orientation se situait dans la perspective générale de ce que les uns appellent la théologie libérale, d’autres le libre christianisme. L’étiquette, en l’occurrence, importait peu, l’essentiel étant que n’étaient pas en jeu des doctrines arrêtées, mais une attitude qu...
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