L'auteur est un maître de la description. Chez lui, c'est une seconde nature, au point que l'histoire vire à l'indigeste. On blablate, on décrit, on sait que chaque mot est bien placé, etc. ...... et on fait durer le plaisir avec une histoire à tiroirs qui devient barbante. On dirait un exercice de style de 500 pages. Au secours ! J'ai lu le premier tiers du livre et j'ai déclaré forfait. Tout se ressemble, c'est lent (évidemment, faut laisser la place aux "descriptions") et finalement, malgré le fait qu'on s'accroche pour connaître le dénouement de l'intrigue, eh bien le livre nous tombe des mains (des miennes en tout cas).
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Un livre à suspence très particulier.
Car il prend la forme d'un long roman sociétal, plus précisément en Grande-Bretagne à l'époque victorienne.
Donc riche en enseignement.
Un long roman car riche en détails, en très longs passages et la fin est bien loin de ce qu'onncroyait avoir deviné dès les premières pages.
Il plaira à ceux qui veulent un roman en ce lieu et cette place et riche en secrets familiaux dans la haute société
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