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Critique de DelphineBo
Décembre 2019. Tom Caldeira, architecte, est contacté par Elias Kaplan, directeur du bureau d'enquêtes et d'analyses pour la sécurité de l'aviation civile. Quatre ans plus tôt, son frère Raphaël a disparu dans le crash d'un avion qui reliait Boston à Paris. Des pêcheurs viennent de retrouver en mer un sac ayant appartenu à Raphaël, dans lequel les paroles de "La chanson blanche" laissent entendre qu'il pourrait être responsable de cet accident d'avion jamais élucidé. Sidéré, Tom explique la situation à sa voisine de palier et amie, Ariane, qui va l'accompagner pour l'aider à faire la lumière sur cette affaire mystérieuse...
Je remercie Babelio de m'avoir proposé la lecture de ce roman dans le cadre d'une Masse Critique. Merci également aux éditions du Gros Caillou pour l'envoi gracieux du livre en avant-première, accompagné d'un joli marque-page et d'un gentil petit mot.
J'ai apprécié la construction du récit, alternant l'enquête de décembre 2019 et les heures qui précèdent l'accident d'avion en novembre 2015. le compte à rebours avant le moment fatal permet d'en apprendre chaque fois un peu plus sur les passagers de ce vol AN333. Au fil des chapitres, on apprend les liens qui unissent certains d'entre eux. On sent que tout est lié et que toutes les pièces finiront par s'emboîter pour reconstituer la trame des faits. Chaque passager apparaît tour à tour comme un suspect potentiel.
Voilà, l'idée est plaisante, la couverture et le titre mystérieux m'avaient donné l'envie de découvrir ce roman, hélas Grégoire Godinaud n'a pas tout à fait réussi à "m'embarquer" dans cette histoire. Les nombreux personnages et leur complexité m'ont un peu perdue.
Certes il s'agit d'un roman mais j'aime lire des récits où la vraisemblance n'est pas trop malmenée alors parfois je suis restée perplexe : par exemple, lorsque Judith Kellermann laisse facilement Ariane et Tom entrer dans sa vie, les invitant même à la suivre chez sa mère Maryse, ou encore lorsqu'Ariane révèle à Tom ce qu'elle lui a caché sur sa vie avant d'être cuisinière.
Comme l'exprime le personnage du journaliste vers la fin du roman : "C'en est presque difficile à suivre, quelle affaire rocambolesque !"
Je remercie Babelio de m'avoir proposé la lecture de ce roman dans le cadre d'une Masse Critique. Merci également aux éditions du Gros Caillou pour l'envoi gracieux du livre en avant-première, accompagné d'un joli marque-page et d'un gentil petit mot.
J'ai apprécié la construction du récit, alternant l'enquête de décembre 2019 et les heures qui précèdent l'accident d'avion en novembre 2015. le compte à rebours avant le moment fatal permet d'en apprendre chaque fois un peu plus sur les passagers de ce vol AN333. Au fil des chapitres, on apprend les liens qui unissent certains d'entre eux. On sent que tout est lié et que toutes les pièces finiront par s'emboîter pour reconstituer la trame des faits. Chaque passager apparaît tour à tour comme un suspect potentiel.
Voilà, l'idée est plaisante, la couverture et le titre mystérieux m'avaient donné l'envie de découvrir ce roman, hélas Grégoire Godinaud n'a pas tout à fait réussi à "m'embarquer" dans cette histoire. Les nombreux personnages et leur complexité m'ont un peu perdue.
Certes il s'agit d'un roman mais j'aime lire des récits où la vraisemblance n'est pas trop malmenée alors parfois je suis restée perplexe : par exemple, lorsque Judith Kellermann laisse facilement Ariane et Tom entrer dans sa vie, les invitant même à la suivre chez sa mère Maryse, ou encore lorsqu'Ariane révèle à Tom ce qu'elle lui a caché sur sa vie avant d'être cuisinière.
Comme l'exprime le personnage du journaliste vers la fin du roman : "C'en est presque difficile à suivre, quelle affaire rocambolesque !"
