L'écriture aseptisée de
Gogol me donne l'impression qu'il a enluminé de vagues légendes de sa Petite Russie, histoires de jolies filles proche de 17 ans et de leur prétendant cosaque perturbé par un diable ou une sorcière.
Rien à voir avec la prose d'
Istrati qui vous prend aux tripes.
Commenter  J’apprécie         243