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Critique de ETARCOS


Écrivain au style sans concession, parfois extrême, toujours très inventif, Terry Goodkind signe là l'un de ses plus puissants opus, tant par le rythme du récit plein de rebondissements, que par le message dont il est porteur, soit son engagement pour la liberté (thème principal de ce tome 6).
Avec toujours en filigrane cet incommensurable amour qui lie Richard et Kahlan.
Un amour que Nicci (ex-soeur de la lumière, ex-soeur de l'obscurité, ex-lieutenant de Jagang), qui détient un immense pouvoir, va mettre en péril.
Pour sauver la femme qu'il aime plus que tout au monde, Richard "accepte" de la suivre dans l'ancien monde, là où son ennemi juré (qui a déclaré la guerre au nouveau monde), le tyran Jagang, fait construire un immense palais.
Pourquoi l'emmène t-elle là-bas ?
Pourquoi veut-elle à tout jamais le séparer de Kahlan ?
Souhaite t-elle livrer Richard aux fanatiques de l'Ancien Monde ?
Nicci est en quête et cherche des réponses. Sa quête est personnelle, et si Richard ne l'aide pas à trouver ces réponses, elle le tuera ! Elle en a fait le serment.
S'il se révolte c'est Kahlan qui mourra.
C'est l'Art, et en particulier la sculpture, qui est, dans ce 6ème tome, magnifié. L'art est le symbole de la liberté, même lorsque l'artiste a des chaines aux pieds. Mais surtout, dans ce roman Terry Goodkind montre à quel point l'amour, l'art et la liberté sont étroitement liés.
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