"La vengeance est un plat qui se mange froid" dit un célèbre dicton. Et la vengeance est bien le thème principal de ce roman lisible en deux petites heures à peine. Vengeance d'un Kevin humilié par un prénom qu'il considère discriminant, vengeance de la famille de l'écrivain qu'il a manipulé, vengeance de sa belle mère, de ses collègues quand ils découvrent le pot aux roses et pour conclure, l'histoire pourrait elle aussi se terminer par un proverbe : "tel est pris qui croyait prendre".
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