Tout d'abord, je remercie chaleureusement les éditions MEO et Babelio de m'avoir offert ce livre dans le cadre de l'opération Masse Critique. Malheureusement, je ne peux pas dire que ce livre m'ait enchanté.
Anne, professeur d'économie et auteure de chroniques dans un journal, nous confie ses errances sentimentales et son mal de vivre. Célibataire, partagée entre sa relation avec son amant, peu disponible, et son attirance pour l'écrivain avec lequel elle travaille sur un nouveau livre, la vie qu'elle nous décrit n'a somme toute aucun intérêt, et on a donc du mal à en trouver à la lecture d'
Une année douce. Si l'on ajoute à ces deux relations les visites régulières à son psy, on saisit mieux encore le côté égocentrique dérangeant de ce récit. Et les quelques références culturelles relatives à l'architecture ou à la littérature, ou celles relatives à la politique belge, ne suffisent pas à relever le niveau d'intérêt.
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