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Critique de Melissee
John Green est un auteur qui m'attire depuis longtemps, mais l'attention autour de « Nos étoiles contraires » m'a fait sauter le pas. Tout d'abord je précise que j'ai été spoilé sur la fin du roman plusieurs mois avant ma lecture, et j'avais alors décidé de ne regarder que le film. Au final convaincu par les critiques positives sur le livre, j'ai choisi de le lire, en version originale anglaise, avant de voir l'adaptation. Et je ne le regrette pas.
La force de ce roman repose sur ses personnages complets, intenses qui nous font ressentir une multitude d'émotions. Ils sont tous aussi importants, principaux comme secondaires, même si ils ne sont pas tous appréciables. J'ai beaucoup apprécié Hazel et Augustus, même si au début du roman leur relation m'a paru trop précipitée. Certes cela est dû principalement à la personnalité haute en couleurs de Gus qui n'hésite pas à dire ce qu'il pense et à vivre l'instant présent. Mais j'ai quand même trouvé que leurs sentiments sont apparus trop vite, ce qui retire une touche de réalisme. A part cela, j'ai été embarquée dans leurs aventures, leurs peurs et leurs joies. Et même si je connaissais la fin, j'ai ri et j'ai pleuré en leur compagnie.
Le style d'écriture de John Green est beau, et certaines de ses phrases m'ont vraiment touché et m'ont fait réfléchir. Il arrive à retranscrire les émotions de ses personnages avec une grande justesse et qui nous embarque dans leurs univers. Je suis très heureuse de l'avoir lu en VO et avoir pu savourer l'écriture de l'auteur. Mais j'ai trouvé qu'il en faisait un peu trop : trop de métaphores, de poésie, de réflexions psychologiques et philosophiques… Cela alourdie le récit et en diminue la spontanéité.
Malgré les quelques défauts dont il souffre, qui font que ce n'est pas un coup de coeur pour moi, je conseille à tous les curieux de se plonger dans ce livre. « Nos étoiles contraires » est un roman qui nous fait traverser les épreuves et émotions de la vie en quelques heures de lecture : le rire, l'amour, la peur, la tristesse… Je n'ai pas pu rester insensible devant l'histoire d'Hazel et Augustus.
La force de ce roman repose sur ses personnages complets, intenses qui nous font ressentir une multitude d'émotions. Ils sont tous aussi importants, principaux comme secondaires, même si ils ne sont pas tous appréciables. J'ai beaucoup apprécié Hazel et Augustus, même si au début du roman leur relation m'a paru trop précipitée. Certes cela est dû principalement à la personnalité haute en couleurs de Gus qui n'hésite pas à dire ce qu'il pense et à vivre l'instant présent. Mais j'ai quand même trouvé que leurs sentiments sont apparus trop vite, ce qui retire une touche de réalisme. A part cela, j'ai été embarquée dans leurs aventures, leurs peurs et leurs joies. Et même si je connaissais la fin, j'ai ri et j'ai pleuré en leur compagnie.
Le style d'écriture de John Green est beau, et certaines de ses phrases m'ont vraiment touché et m'ont fait réfléchir. Il arrive à retranscrire les émotions de ses personnages avec une grande justesse et qui nous embarque dans leurs univers. Je suis très heureuse de l'avoir lu en VO et avoir pu savourer l'écriture de l'auteur. Mais j'ai trouvé qu'il en faisait un peu trop : trop de métaphores, de poésie, de réflexions psychologiques et philosophiques… Cela alourdie le récit et en diminue la spontanéité.
Malgré les quelques défauts dont il souffre, qui font que ce n'est pas un coup de coeur pour moi, je conseille à tous les curieux de se plonger dans ce livre. « Nos étoiles contraires » est un roman qui nous fait traverser les épreuves et émotions de la vie en quelques heures de lecture : le rire, l'amour, la peur, la tristesse… Je n'ai pas pu rester insensible devant l'histoire d'Hazel et Augustus.
